Nadine, la vengeance d'une maman (10)
Datte: 12/08/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... pas à quoi elle pense, mais je me dis pour me rassurer qu’une bonne nuit de sommeil nous permettra d’y voir un peu plus clair… Le jours s’est levé. Je devine une présence. Je me réveille en sursaut. Je n’ai rien entendu, pourtant Maman est affalée sur mon lit. Elle porte une jolie petite nuisette du plus bel effet. Son corps n’est que rondeurs naturelles, courbes lascives. Je ne me lasserai jamais de la regarder. Je la trouve de plus en plus belle. Encore endormi, je m’aperçois qu’elle a rejeté les draps à mes pieds et qu’elle me mate ouvertement. Embarrassé, je cherche le moyen de me couvrir, mais je n’ai rien sous la main pour me dissimuler. — Relax, mon chéri… tu crois qu’il n’y a que toi qui peux venir dans ma chambre pour me regarder dormir toute nue ? Elle bascule sur le côté. Elle me sourit d’un air complice, comme si nous partagions le même petit vice secret, et elle s’installe en appui sur un coude, en se tenant la joue et le menton dans la main. — Tu sais, j’ai beaucoup réfléchi cette nuit… je voudrais que tu saches que je suis reconnaissante pour ce que tu as fait pour moi depuis que ton père est parti… tu es un gentil garçon Maxime… le fils attentionné dont toute maman rêve, confesse-t-elle avec une réelle émotion, mais sans quitter ma queue des yeux. Le décalage entre la reconnaissance maternelle qu’elle me témoigne d’une part, et l’insistance avec laquelle elle fixe mon sexe de l’autre me déstabilise complètement. Consciente d’avoir capté mon attention, elle ...
... poursuit. — Je t’avoue que l’attirance malsaine que je t’inspire est perturbante… mais ce n’est plus ton problème… je suis d’accord, si tu le veux vraiment… j’en ai pris mon parti… Je suis sidéré par sa franchise. Sa proposition me laisse sans voix. Je baisse les yeux, penaud, comme un petit enfant pris en défaut. — Ne t’inquiète pas mon trésor, tout va bien… maman va s’occuper de toi maintenant… Ses sous-entendus crapuleux me donnent des frissons. Mon sang pulse, bouillonne ; il gorge les tissus spongieux des corps caverneux de ma queue. Maman constate, enchantée, que sa confession a provoqué sur moi l’effet escompté. Elle pose délicatement une main sur ma cuisse, remonte timidement, prend mon sexe entre ses doigts. Elle m’effleure, me décalotte doucement, commence à me masturber avec une surprenante tendresse qui paraît déplacée. — Tu es sûr que c’est vraiment ce que tu veux, mon chéri ? C’est comme si elle demandait à un drogué s’il veut renifler le rail de cocaïne qui se trouve sous son nez, ou s’il ne préfère pas plutôt y renoncer et rendre gentiment la paille qui lui brûle les doigts. C’est fou ce qu’elle est drôle, n’est-ce pas ? J’avais déjà réalisé qu’elle est vicieuse selon les circonstances, mais je n’en reviens pas qu’elle puisse se montrer aussi perverse. Maman rampe sur mon lit, s’installe en position. Elle pose sur ma queue un regard affamé. Gloutonne. Elle a les yeux écarquillés, l’air possédée... euieppnr L’été précédant, je suis sorti avec une fille, Caroline, ...