1. Nadine, la vengeance d'une maman (10)


    Datte: 12/08/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... qui passait pour une salope dans la cour du lycée. Une petite blonde avec un visage ravissant, assez boulotte, mais dotée d’une spectaculaire paire de gros nichons qui rendaient fous tous les garçons. La première fois qu’elle m’a emmené dans sa chambre, elle s’est montrée peu farouche, justifiant sa réputation, et nous nous sommes rapidement retrouvés nus sur son lit. Elle avait vraiment des seins magnifiques, lourds et attachés très hauts ; une poitrine naturelle avec deux bourgeons éclos. Elle avait aussi une jolie petite chatte totalement glabre, ainsi que les canons de la beauté formatée l’imposent aux femmes d’aujourd’hui. Très vite, nous nous sommes enhardis, et, alors que je la doigtais, elle m’a branlé avec cette frénésie propre aux actrices porno. Comme elle était brutale et me faisait mal, je lui ai demandée de me sucer, et elle s’est exécutée pleine de bonne volonté. Mais pour cette activité non plus elle n’était pas très douée. Elle me pompait la queue comme une hystérique, la mâchoire distendue, toutes dents dehors, si bien que j’ai eu peur qu’elle ne me blesse avec l’ardeur qu’elle y mettait. Lorsque ses dents ont dérapé sur mon frein, je lui ai ordonné de s’arrêter et me suis fini entre ses gros seins. Quand j’ai éjaculé, elle a poussé des petits grognements satisfaits alors que j’arrosais son menton, visiblement enchantée par sa performance. Elle a recueilli mon sperme sur ses doigts, avant de les lécher un après l’autre avec conviction. Elle avait l’air si ...
    ... heureuse de sa prouesse, si fière d’elle-même, que je m’en suis voulu de ne pas partager son enthousiasme. Par une incroyable aberration dont j’ignore l’origine, Caroline était vierge et tenait à le rester. Elle n’était ni musulmane ni d’une autre obédience, ce n’est pas la religion qui la freinait. Pourtant, elle ne refusait aucune fantaisie à ses nombreux amants : elle leur offrait même son cul en compensation ! J’ai décliné l’invitation la fois suivante, puis celle d’après, et nous avons rompu. Je garde cependant un excellent souvenir de Caroline. C’était une fille généreuse, prompte à satisfaire les garçons qui lui plaisaient. Ses gros nichons étaient doux et moelleux. On retournait dans leur sillon profond avec volupté, en terrain conquis, avec la promesse renouvelée de n’être jamais déçu, de toujours y trouver ce qu’on était venu y chercher… Si je repense à Caroline à ce moment précis, c’est parce que ma mère me la rappelle étrangement. Un frisson d’appréhension me glace l’échine quand Maman se penche sur moi en ouvrant la bouche en grand. Elle a le même regard absent, la même détermination avant d’entamer sa fellation. Elle semble aussi dérangée que Caroline, aussi cinglée, aussi pressée de s’empiffrer. Comme je n’ai aucune expérience en la matière, comme ma première pipe s’est soldée par un échec presque traumatisant, je suis effrayé à l’idée qu’elle soit incapable de se contrôler, qu’elle plante ses crocs dans mon gland et me mutile accidentellement. Mais je réalise ...