Geneviève diablesse
Datte: 12/08/2019,
Catégories:
fh,
gros(ses),
groscul,
telnet,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
fsodo,
fouetfesse,
L’histoire que je vais vous narrer est authentique. Elle s’est déroulée dans une grande ville belge. J’ai conservé avec Geneviève de tendres relations. Mais, avant de vous en dire plus, laissez-moi le plaisir de vous faire découvrir cette petite diablesse… impertinente. Qu’importe la date exacte… Je me rappelle que l’hiver était proche… En martelant rapidement les dalles épaisses d’un trottoir bruxellois, mon esprit s’envahissait d’une délicate appréhension… Elle s’était décrite comme étant rondelette mais, au vu des longs échanges sur le net, elle était sans aucun doute charmante et coquine. Cependant, toutes ces phrases échangées ne m’avaient évidemment pas permis de la cerner complètement. Elle se décrivait comme une fille impertinente qui souhaitait rencontrer un homme à poigne qui la dominerait mais, avait-elle prévenu, « Ne croyez pas un seul instant que je me laisserai faire. Je suis une diablesse ! » Qu’en penser ? Une diablesse qui souhaitait être dominée, mais teintée d’un esprit rebelle… Quel cocktail étonnant de femme allais-je rencontrer ? Je passai plusieurs fois devant le vestibule de l’hôtel où nous nous étions donné rendez-vous. La fraîcheur de cette fin de journée d’un mois d’octobre particulièrement glacial avait anéanti tout désir de s’installer en terrasse. J’entrai donc. Le bar était surpeuplé. Comment la reconnaître ? J’appuyai sur la touche appel de mon portable et je vis, derrière une colonne si typique des grands bars bruxellois, une jeune femme ...
... prendre le sien. Je m’approchai. Son visage était un peu tendu. Son visage rond, entouré de cheveux fins, était à l’image de son corps. Elle n’avait pas menti : elle était doucement, voluptueusement ronde. Son visage, sa bouche, sa poitrine, ses cuisses et ses fesses étaient on ne peut plus en harmonie. Tout était en rondeur et en suffisance. Je me faisais déjà un doux rêve de caresser les courbes de ce corps. Tel Rubens, j’essayais de découvrir ce qui pouvait se cacher sous son corsage et j’essayais d’imaginer la beauté du tableau. J’entamai la conversation amicalement et au bout de quelques minutes je sentis qu’elle commençait à m’apprécier et à prendre confiance. Nous avions décidé de dîner dans un restaurant étoilé. — Une relation de classe ne peut se contenter d’un repas de garnison, lui avais-je dis au creux de l’oreille. Même si, ensuite…— Taisez-vous ! Nous ne sommes pas seuls, avait-elle répondu. Le vin et la bonne chère lui garantissaient sans le moindre doute que nous ne sombrerions pas dans le vil et le vulgaire. Ses fossettes rougissaient de temps en temps lorsque mes questions devenaient plus indiscrètes. Mais elle adorait ça car, après avoir un peu gigoté sur sa chaise, après m’avoir susurré à l’oreille qu’elle allait rougir et que je devrais avoir honte, elle n’hésitait pas à répondre et à rétorquer par une autre question plus coquine encore… — Portez-vous le moindre dessous ? lui demandai-je.— Et vous ? me répondit-elle. Cela vous arrive-t-il de vous balader le ...