1. Geneviève diablesse


    Datte: 12/08/2019, Catégories: fh, gros(ses), groscul, telnet, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fsodo, fouetfesse,

    ... cul nu ? Elle souriait de bon cœur mais finalement se livrait peu. Je pensai un moment qu’à ce petit jeu, nous en resterions au café et que notre soirée s’arrêterait là. En quittant le restaurant, elle me demanda : — Voulez-vous me raccompagner ? Le métro à cette heure est peu sûr… J’acceptai sans la moindre réplique malicieuse et, sur ses indications, je traversai les grandes artères bruxelloises pour m’arrêter devant un charmant petit immeuble. — Garez-vous là, et je vous montre mon chez-moi… Mais silence dans l’ascenseur ! La clef tourna délicieusement dans la serrure et, à peine entrée, elle s’éclipsa par une petite porte, me laissant seul dans la pénombre. J’entendis un petit bruit continu, le bruit d’un jet liquide que j’aurais aimé non seulement entendre mais que j’aurais voulu aussi voir. J’étais un peu déçu. — Où êtes-vous ?— Assis dans votre divan… Je vous attendais…— Attendez… J’arrive… Et surtout n’allumez pas… Toutes ces précautions m’ennuyaient un peu. Où tout cela allait-il m’entraîner ? Au bout de quelques minutes, après avoir entendu des tiroirs ou des portes de placards ouvertes puis sans doute refermées, un rythme de coups saccadés sur le parquet me tira de mes pensées. Dans la pénombre que l’éclairage public agrémentait d’un reflet jaune orangé, elle se présenta. Escarpins, bas autofixants, et une nuisette transparente qui enveloppait son corps. Elle se jeta presque sur moi en disant : — Ne regardez pas… Je sais que je suis ronde… Je ne la laissai pas ...
    ... achever et lui pris la bouche. Sa langue m’enveloppa et fouilla la mienne d’une façon guerrière. Je commençai à lui caresser les seins. Ils étaient lourds, chauds. Sa peau goûtait le miel et elle avait la douceur du satin. Je sentis ses tétons durcir et grandir, comme s’ils voulaient s’échapper de sa poitrine. Je les pinçai de plus en plus fort. Geneviève roucoulait de plaisir… Plus je pétrissais sa poitrine et tirais sur les corolles rougeâtres, plus le plaisir montait dans sa bouche. En lui caressant la cuisse et en remontant doucement, je sentis sur le bout de mes doigts un liquide… Elle coulait. Toute sa chatte s’était ouverte et dégoulinait de plaisir. Je couvris mes doigts et le dos de ma main de cette rosée féminine mais ne pus mener ma manœuvre à bonne fin. Elle empoigna mes deux mains et les posa fermement sur ses deux fesses… En les malaxant, j’écartai les lobes et, au fond du sillon découvert, je sentis son anus m’appeler : il palpitait et le mouvement que j’imprimais à ces deux masses rondes le dilatait. Le divan s’ouvrit et, comme par enchantement, se transforma en lit. J’introduisis deux, puis trois doigts dans son sexe. Tout s’écartait sans difficulté et Geneviève ahanait sous les vagues de plaisir. Elle était sur le ventre et me présentait un cul de feu, large et rebondi, où la chair avait pris place sous forme de deux sphères pratiquement parfaites. — Vous savez, me dit-elle, je suis une vilaine… Je ne m’occupe pas de votre plaisir. D’ailleurs, punissez-moi, ...