1. La lune noire en taureau - Chapitre I Jim


    Datte: 12/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... - Oui, je veux le goûter, boire sa liqueur, qu’il me fasse jouir avec sa langue, qu’il m’empale et me fasse perdre connaissance sous ses coups de butoirs. Je le veux au fond de moi ! » J’avalais ma salive. Je te découvrais sous un jour insoupçonné. La petite timorée était devenue une femme prête à se donner à un autre homme avec une assurance provocante. Un profond sentiment d’angoisse me submergeait. Pourrais-je te perdre ? Instinctivement, je portais ma main sous ta jupe. Tu n’avais pas encore remis de culotte, et mon doigt vérifia immédiatement la portée de tes propos. Humide et ouverte, tu étais aussi excitée que moi. J’ai caressé ton bouton qui était gonflée par le désir mais le bruit de la porte de la salle de bain mis fin à cet intermède réjouissant. Jules était revenu parmi nous, avec son sourire ravageur. La chambre à coucher se situait sur une mezzanine ouverte qui dominait le séjour. Elle était juste assez grande pour laisser un passage d’une quarantaine de centimètres autour du lit. L’escalier qui y conduisait était en colimaçon et fermé par des murs. La cuisine était placée sous la mezzanine. Tu montas à la chambre pour finir de t’habiller. « Bon, je vais préparer l’apéro, dis-je, en sachant que mon initiative ferait écho à une autre. - Jules, veux-tu venir me masser le dos ? J’ai besoin de le détendre. » Jules ne se fît pas prier et au fur et à mesure qu’il gravissait les marches de l’escalier, une autre ascension se déclenchait au bas de mon ventre. Je ...
    ... n’arrivais pas à me convaincre que tu mettrais à exécution ta promesse. Et pourtant la brûlure intense de mon ventre n’aspirait qu’à cette évidence. J’entendais Jules parler et de temps en temps tu le guidais sur les endroits tendus à masser. Je lançais : « Je sors quelques minutes sur la terrasse de l’accueil pour regarder mes mails ». Je laissais entrouverte la porte. Quelques minutes plus tard, j’entre à nouveau dans le séjour et à pas feutré. Le silence s’est installé. Plus aucun bruit. De là je peux entrevoir le bord du lit à travers les barreaux de la mezzanine. Il me semble voir tes genoux relevés et à bonne distance l’un de l’autre. Ta tête est penchée sur le bord du pied du lit. Un gémissement fend le silence, légèrement rauque, un cri contenu que je connais bien. Sur la pointe des pieds je perçois la silhouette de Jules recroquevillée à la tête du lit. Aucun doute possible. Mon cœur bat très fort. Mon sexe est tellement tendu. Je gravis doucement les marches qui conduisent à la mezzanine. Avant le denier virage de l’escalier, je passe un peu la tête. Je te vois, nue, jusqu’au niveau de tes hanches. Les mains de Jules caressent tes seins et ton ventre. Je ne vois pas sa tête mais je la devine dans le prolongement de ton bassin qui se cambre à rythme régulier pour aider la langue butineuse de Jules. Ta respiration s’accélère, tu tournes la tête vers l’escalier. Tu me vois. Je place mon index devant ma bouche en signe d’acquiescement. A cet instant, ton regard change, comme si ...
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