1. La lune noire en taureau - Chapitre I Jim


    Datte: 12/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... entrecuisse une grande tâche qui s’étend. J’ai eu quelques fois ce rare honneur de te voir fontaine. Sans aucun doute, Jules était de la trempe des fontainiers ! Jules reste à butiner. Tu reprends tes esprits. Tu me regardes. Je t’interroge : « Alors ? As-tu retrouvé tes petits ma chérie ? - Bien sûr, tu étais le premier et Jules le second ! - Ce n’est pas possible, comment fais-tu ? - De toi, j’ai une certaine habitude et de Jules un souvenir récent. - Tu as gagné, quel est le gage ? - J’ai besoin d’être transpercée, écartelée, comblée. Vous devez terminer votre œuvre exiges-tu tout en te plaçant en levrette. Chéri, pardonne-moi, mais je n’ai jamais eu à faire à si bel équipement. Jules accompli ta promesse de tout à l’heure. Chéri, laisse-moi aspirer de tes entrailles tous tes sucs. J’en veux des litres ». J’ai cru que mon cœur explosait. Elle préférait Jules à moi. Un sentiment étrange mêlait jalousie et excitation de savoir qu’elle était prête à empaler sans vergogne, le pieu vigoureux de Jules. Jules se relève, et s’enfonce au plus profond de toi qui crie de bonheur. Je me place devant toi sur les genoux, torse droit, pour que tu puisses œuvrer confortablement. Tu m’engloutis avec ferveur. Tu veux sans doute me ...
    ... remercier de ma générosité. Je vois Jules te pourfendre à chaque coup de rein et dans le même élan ta bouche m’enveloppe totalement. Je ressens un plaisir immense. J’imagine ta main passer entre tes cuisses et serrer les réservoirs de Jules pour l’appeler à te remplir. Je t’entends gémir de plus en plus et je suis captivé par tes spasmes incontrôlables. Je n’en puis plus de te voir offerte ainsi. Je clame « Tu n’as pas honte, petite coquine de te donner au premier homme venu. C’est un beau calibre, n’est-ce pas ? Il te fait jouir ma chérie. Tu n’as pas honte. - Oui…oui…Il me fait jouiiiiiirrr… » Je ne pus empêcher la libération de ma semence dans un tourbillon de plaisir qui envahit tout mon ventre. Plusieurs jets frappent les parois de ta bouche. Au même moment, Jules aussi exprime dans un râle sans fin sa délivrance. Son corps entier est tendu vers l’avant. S’il avait pu, il serait entré tout entier dans ton antre. Enfin, tes cris de jouissance, provoqués par un violent spasme déchirent l’intimité de la nuit. Ton orgasme semble sans fin. Nous restâmes quelques temps imbriqués, puis nous nous sommes étendus. Tu étais dans mes bras, en chien de fusil, Jules devant toi, que tu enlaçais. Nous sombrâmes dans un sommeil irrésistible. 
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