La lune noire en taureau - Chapitre I Jim
Datte: 12/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... suis sûr ! - Tu es sûr ? - Oui, oui, j’en suis sûr. Caressez mes seins… » Rapidement torse nue, nos mains cheminèrent sur tes seins qui pointaient de plus en plus. Tes murmures de satisfaction nous encourageaient. Au terme de 5 minutes, nous attendions à nouveau le résultat : « La main à ma gauche est celle de Jules. - Effectivement ma chérie, tu avais raison. - Vous m’avez émoustillé. J’aimerai continuer le test dans la chambre. J’ai des propositions à vous faire. Mettons-nous nus. » - Excellente idée dit Jules. - Alors, devant une telle unanimité, concluais-je, je propose qu’à chaque fois que tu réussis le test ma chérie, tu demandes à l’un ou l’autre d’accomplir un gage. - Génial, mon chéri Jules prépare toi ! ». Nous nous déshabillions dans le séjour, puis les yeux toujours bandés, nous te conduisons vers la mezzanine. Après avoir retiré le dessus de lit, j’avais dans l’idée que la soirée se terminerait arrosée, nous te couchâmes sur le dos. « Alors, Madame le cobaye, quel est le prochain test ? Demandais-je. - Je fais le pari que je suis capable de reconnaître l’index et la langue de chacun. Chacun à votre tour, pendant trois minutes vous me caresserez ma pimprenelle, puis de même ensuite avec votre langue. Allez, à l’ouvrage ! » Après avoir essayé de faire perdre toutes références spatiales, d’un signe, j’indiquais à Jules que je débuterais. Je commençais à caresser ses cuisses, son ventre et progressivement, j’approchais mon doigt de son abricot. Je titillais ...
... doucement jusqu’à ce que Jules me fît un signe. Ma bouche embrassa son sexe qui commençait à s’humidifier. Ma langue naviguait entre ses lèvres et sa pimprenelle. Tu t’ouvrais comme la corolle d’un Lys. Je sentais ton plaisir montait en vague incessante. Une tape sur l’épaule m’arracha à ma douce besogne. C’était au tour de Jules. En réponse à ses doigts, tu poussas un gémissement. Visiblement, ta sensibilité s’exacerbait de plus en plus. Tu t’ouvris impudiquement à sa langue. Je pouvais observer les signes de ta revendication à la jouissance : ventre qui se creuse, bassin qui se relève, soupires qui s’accélèrent. Je tape sur l’épaule de Jules qui abandonne avec regret sa mission. Brutalement il s’arrête. Quelques instants passent. Je t’entends implorer : « Continue, continue, je n’en peux plus… », Je vois ta main se porter sur ton abricot pour en finir. Je murmure à Jules : « Fais la jouir avec ta langue. Elle adore que le pouce joue avec son anus ». Je prends ta main fouineuse et la pose sur son côté. Je caresse tes seins et je joue avec leur pointe érigée. Jules revient entre tes cuisses et pose une de ses mains sur ton ventre. J’imagine que l’autre a suivi ma consigne. Tes gémissements s’accélèrent. C’est un des plus beaux spectacles de la nature que la jouissance d’une femme. Je vois ton bassin avancer vers Jules. Je me doute pourquoi. Son pouce va te traverser. C’est le moment où tu exploses dans me semble-t-il plusieurs orgasmes. J’entrevoie sur les draps prés de ton ...