1. A l'amiable


    Datte: 14/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    - « A cette allure, Didier va prendre la place de Jules » se réjouit Suzon. On ne peut pas l’entendre dans la chambre car ma femme entame une longue suite d’onomatopées tant la charge de Didier la comble. Elle rit, elle geint, elle expire puis invite l’homme à plus d’entrain. Elle suffoque puis aspire à fond. Pourquoi Suzon se réjouit-elle du recul de Jules réduit à jouer les utilités en guidant la verge de Didier ou en caressant un sein de sa maîtresse en transpiration ou en extase? Espère-t-elle le récupérer. Elle est émue aux larmes par la jouissance ininterrompue de Lili, ? - Oh! Que c’est gros…que c’est long… que c’est bon… olalalala. Encore… plus vite…ouiiiii, ha,ha À suivre Suzon est troublée par les manifestations de bonheur de Lili. Ne se projette-t-elle pas déjà dans les bras de monsieur « Bienmonté » à la place de Lili. Ma Suzon aimerait-elle faire partie des heureuses conquêtes de cet étalon actif et efficace. Son mari, Jules, se fera-t-il fabriquer une progéniture par l’ardent géniteur, soumettra-t-il sa femme à Didier, comme il lui accorde la priorité sur la mienne ? Et Lili qui n’a pas exigé de préservatif souhaite-t-elle une grossesse aussi rapprochée de son accouchement? Toutes les femmes entrent-elles en chaleur au contact d’un homme viril? La mienne est perdue, livrée, prise et transportée là, devant son amant, Suzon résistera-t-elle à l’attrait du mâle rude et capable de faire trembler et hurler de jouissance? Il doit être temps de mettre fin à ce ...
    ... déferlement de gémissements J’invite Suzon à avancer avec moi dans ma chambre. - Non, attends, ce n’est que le début. Comme tu le sais, ils doivent passer au sandwich et j’aimerais assister à une scène aussi rare. J’ai du mal à comprendre comment une femme peut se donner à deux hommes avec amour. - Pourquoi ? Tu veux peut-être les rejoindre et participer? Tu comprendrais mieux si tu en avais un par-dessus et l’autre par-dessous, tous les deux en train de gigoter dans leur orifice. - Oh ! Le vilain soupçon, juste au moment où je te retrouve. Tu devrais avoir honte. Pour ta punition, embrasse-moi. Le baiser de Suzon veut être d’autant plus persuasif que le mien est défaitiste et désespéré et elle finit par douter de mon amour : - Jean, je croyais que tu m’aimais ? Lili vient de cesser ses plaintes, halète fortement. Nous jetons un œil prudent vers le lit. Jules aide Didier à se relever. Lili descend de la couche, Didier prend la place qu’elle occupait et apostrophe Jules : - Tu as entendu. Tu ne m’avais pas annoncé une telle baiseuse. Ça c ‘est de la femme. Elle enchaîne orgasme sur orgasme. C’est une merveille. Je veux l’essayer plus active. - Oui, mais vite fait. Il fallait arriver à l’heure. - Bien, Lili, monte là-dessus, je veux voir tes yeux. Tu choisis l’allure, tu avales tout, tu montes et tu descends jusqu’à heurter le col de ton utérus sur ma bite. Mon doigt dans le cul, c’est pour te préparer à recevoir bientôt la queue de ton amant. Un jour tu inviteras ton mari et ton amant ...
«1234»