A l'amiable
Datte: 14/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Nous en prenons acte et nous nous engageons à cesser. Ils sont toujours collés ensemble comme des grenouilles. Je lui fais plaisir : - Didier, tu es un homme généreux, si j’ai bien compris ce que tu as raconté depuis ton arrivée. Tu mérites une publicité qui conduira vers toi toutes les femmes en mal d’amour. Veux-tu te charger de la mienne ? - Tu as bien entendu ce que j’ai dit, tu sais donc que je suis marié, garde ta femme. - Lili tu préféreras sans doute moins de publicité ? Didier ne veut pas s’encombrer de toi, il te reste une solution, va vivre chez Jules, reconnais simplement l’adultère, plaide coupable et je ne montrerai pas les preuves. Jules sera probablement partisan de cette solution douce au scandale de vos amours de groupe. - Moi aussi. Merci, je n’ai pas envie de publicité supplémentaire, précise Didier. Jules délaissé par Suzon veut savoir : - Alors tu me donnes ta femme ? C’est vrai? D’accord pour le divorce en douceur. Tu as toujours été un ami. Lili veut-elle de moi ? - La question arrive bien tard. Elle t’appartient. Didier lève-toi. Lili se détache du pieu coincé entre ses fesses. Je m’adresse à l’amant soulagé : Parfait. Tu aides Lili à emballer ses affaires, et tu charges ses valises dans ta voiture. Lili ne pleure pas, tu seras plus ...
... heureuse avec Jules et occasionnellement Didier. N’oublie pas ta lingerie fine. Regarde le dernier cadeau de Jules à Suzon. La coquine Suzon dégage son string avec plaisir, fait baver d’envie Didier et rager Lili. Jules s’inquiète enfin et objecte : - Que devient Suzon? Je ne peux pas entretenir deux femmes. - Il fallait y penser avant. Ah ! Elle t’a annoncé qu’elle voulait divorcer. En attendant le divorce je propose de l’héberger. Elle peut emménager dès ce soir. Nous passerons chercher ses valises. Didier oublie de se taire: - Merci pour la discrétion. Vous ne parlerez pas de moi au procès. Si vous avez besoin de mes services, pour vous ce sera gratuit. Merci Jules pour les deux cents euros. - Quoi, tu m’as vendue comme une putain ? S’écrie Lili en pleurs. - Je ne recommencerai plus, pleurniche Jules. - Moi, je veux commencer avec Jean. Vous m’avez donné des envies, ma chatte est en feu. Dépêchez-vous de déguerpir. - Mais alors, vous aussi vous commettez l’adultère ! Au procès… Cette fois elle me chauffe les oreilles: - Il n’est pas encore consommé et tu n’auras pas de preuve à montrer. N’oublie pas, tu as le choix entre deux solutions. N’ergote pas, tu perdrais. Tu sais que tu vaux deux cents euros, va… Je n’ajoute pas l’insulte, elle l’entend peut-être.