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Les démons de Noémie (9)
Datte: 03/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... C’était un flot ininterrompu de foutre qui se déversait sur le corps encore brûlant de la jeune philippine. Elle en avait absolument partout. — "Eh ben, on l’a repeinte en blanc, la chinetoque !", s’exclama le vieux en riant très fort. Noémie se ressaisit et voulut se laver au lavabo. Le premier inconnu lui donna une serviette et de quoi se nettoyer. En partant, la jeune asiatique fit un grand sourire au gros des urinoirs et ralentit en passant devant lui. Elle se dirigea vers les toilettes, lentement, en se dandinant. Le gros la regarda s’éloigner, puis lui emboîta le pas. Arrivé aux pissotières, il l’observa en train d’enlever le sperme sur elle. Il bandait à nouveau. La jeune femme enfila sa culotte et son jean, lentement. Le gros la prit soudain par les cheveux et la força à se mettre à genoux. Noémie sourit et dégrafa le pantalon puis avala la queue. Le vêtement tomba au niveau des mollets du bonhomme. La belle suça avec ardeur la bite du gros qui ne tarda pas à cracher son jus dans sa bouche. Elle avala tout en se léchant les lèvres puis se releva, enfila son soutien-gorge et son t-shirt. — "Faut que ...
... je rentre, maintenant...", dit-elle, en souriant. Le gros sourit aussi et repartit rejoindre ses amis. Noémie regagna rapidement sa voiture et démarra en trombes. Le petit groupe d’hommes lui fit de grands signes quand elle passa devant eux. Sur la route, à peine remise de ses émotions, elle fit le tour de ce qu’elle avait pu noter : les caméras de surveillances de la boutique donnaient sur la table, ce qui expliquait la volonté du type de la baiser à cet endroit précis. Elle devait donc récupérer les enregistrements avant le commanditaire de ce traquenard qu’elle soupçonnait être Géraldi. Elle sortit ensuite le portable qu’elle avait dérobé au gros. Un smartphone avec un compte Facebook actif. Elle avait son nom et ses contacts. Très utiles pour la suite des évènements. Elle en oublia son client qu’elle supposait factice et retourna vers la ville. Sur la route, son corps entier douloureux réclamait encore du sexe. Elle était toujours très excitée. Elle voulut même s’arrêter pour se masturber mais lutta pour garder son contrôle et rentrer d’une seule traite chez elle. Elle devait se lever très tôt demain.