1. Ma vie de libertin - De brèves aventures : Train de nuit ou souvenirs des années 80.


    Datte: 16/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Avant que le T.G.V. n’envahisse le réseau des grandes lignes, les trains de nuit étaient nombreux. Ils permettaient de voyager sans perdre de temps et de dormir à peu près confortablement. L’aventure que je vais vous conter date d’une trentaine d’années alors que je me rendais de Paris à Perpignan à la morte saison A cette époque, je cherchais à acheter un studio pas trop loin de la côte où j’allais presque tous les ans pour faire du naturisme. Lorsque le train a quitté le gare de Paris-Austerlitz, je pensais être seul dans mon compartiment couchettes mais après environ un quart d’heure, le contrôleur est arrivé accompagné de deux femmes qui, visiblement n’avaient pas réservé ou s’étaient décidées pour un départ de dernière minute. Environ trente ans toutes les deux, autant l’une était brune, l’autre semblait être blonde naturelle. Leurs bagages installés, leurs manteaux posés sur la couchette restée libre, j’ai pu voir combien l’une et l’autre étaient agréables à regarder, sveltes, d’une mise très soignée qui laissait voir des petits seins menus et haut placés sous un chemisier de soie. Les jupes, en tissu épais arrivaient à mi-mollet. Elles étaient chaussées de bottillons à talons arrivant au dessus de la cheville. Nous avons lié connaissance. Même si à près de 45 ans, j’étais très libre dans mes relations avec les femmes, j’étais un peu gêné de la promiscuité à laquelle je n’étais pas préparé et qui allait être la notre tout au long de ce voyage. Je savais aussi que les ...
    ... femmes n’aiment pas se trouver dans cette situation. Apparemment elles semblaient ne pas y prêter attention. Après quelques temps, elles sont sorties dans le couloir pour fumer une cigarette. J’ai donc proposé de me coucher en premier pendant qu’elles attendraient dans le couloir. Ce fut chose faite. Tourné contre la paroi du compartiment, j’ai pu entendre les frôlements de tissus lorsqu’elles se sont déshabillées et glissées dans les draps. Dans la pénombre bleutée du compartiment, nous nous apprêtions à passer une bonne nuit. J’ai l’habitude de voyager en train et le balancement du wagon et les bruits de roulement ont généralement vite fait de m’endormir. Là, pas moyen de trouver une position confortable. J’étais troublé par les parfums capiteux que ces jeunes femmes dégageaient. Elles aussi semblaient avoir des difficultés à trouver le sommeil. Elles bavardaient à mi voix mais je ne comprenais pas ce qu’elles disaient. Soudain, j’ai senti qu’une main se glissait sous la couverture à hauteur de mon bas ventre et une autre me caressait les cheveux pendant qu’une bouche cherchait la mienne. C’était une invitation à ne pas refuser. Je découvris ainsi la silhouette de Véronique, la blonde penchée sur moi alors que la brune regardait du haut de la couchette supérieure. Mes mains partirent sous la petite nuisette opaque à la recherche des seins menus. Oh ! De jolis tétons bien saillants, mon rêve de toujours. Je les ai fait rouler sous mes doigts, arrachant de petits gémissements ...
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