1. Ma vie de libertin - De brèves aventures : Train de nuit ou souvenirs des années 80.


    Datte: 16/08/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... de plaisir à mon assaillante. J’ai repoussé le drap d’un mouvement de jambes. Véronique continuait de m’embrasser et je lui rendais bien volontiers ses baisers de plus en plus chauds. De ma main droite, je descendis jusqu’à son pubis. Elle était nue et aucun poil ne venait ombrager son sexe. Elle était en avance sur la mode actuelle où la grande majorité des femmes est rasée ou épilée. De la paume j’ai massé son mont de Vénus, laissant courir un doigt dans sa fente déjà bien humide. Elle avait abandonné mon sexe pour jouir de ma caresse. Sa compagne Aline est alors descendue de sa couchette et venant se placer derrière elle, elle a empaumé les seins de Véronique pour les masser. J’étais tombé sur deux coquines bisexuelles qui étaient à la recherche d’une aventure sans lendemain. Bientôt les rôles ont changé. Véronique a fait glisser le pantalon de mon pyjama et, couvrant ma bite d’un préservatif, elle est venue s’empaler sur mon sexe dressé en me tournant le dos. Malgré la pénombre, la vue était charmante. Aline est venue au dessus de moi en m’enjambant et a présenté sa chatte imberbe au dessus de mon visage. J’ai relevé légèrement la tête et j’ai commencé un cunnilingus appuyé. La situation n’était pas très confortable en raison de l’exigüité de la couchette mais devant cette bonne occasion, j’aurais bien eu tort de me plaindre. Depuis quelques années, libre de toute attache sentimentale, je fréquentais assez régulièrement les clubs libertins qui ouvraient peu à peu dans ...
    ... la capitale et dans les environs. Véronique se donnait à fond. Profitant de ma bite bien raide (à cet âge là, on a encore une vigueur certaine), elle faisait elle-même les mouvements de va-et-vient. J’étais occupé avec Aline que je maintenais par la taille pour l’empêcher de basculer. Ma langue faisait couler un flot de cyprine de sa chatte. Elle se frottait sur moi pour éprouver plus de sensations. Je n’étais plus maitre de la situation. Véronique et Aline me faisaient l’amour comme deux cavales en chaleur. Mon plaisir montait et je n’allais pas tarder à me lâcher. Véronique a du le sentir car elle a fait travailler ses muscles intimes et là, la jouissance commune est arrivée, brutale et généreuse. Véronique s’est dégagée et après avoir retiré le préservatif elle s’est esclaffée en le nouant pour emprisonner mon sperme : • Souvenir ! Même si Aline avait éprouvé du plaisir sous ma caresse, elle était insatisfaite. Elle fouilla rapidement dans son sac de voyage et en sortit un gode vibrant de belle taille et s’allongeant sur la couchette en face de moi, d’une main elle l’introduisit avec facilité dans sa chatte alors que l’autre venait agacer ses tétons. Véronique et moi, nous nous sommes placés de part et d’autre, relevant la nuisette, nous sommes allés cueillir chacun un des tétons. Sous cette triple caresse, Aline n’a pas tardé à jouir à son tour. Nous avons regagné chacun notre couchette et là, rapidement nous avons trouvé un sommeil réparateur. Au petit matin Aline et ...