1. 51.1 Le Jérém à peau mate et le Thibault à dos large


    Datte: 18/08/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... leurs atouts, ne pas se la raconter, tout court… mais ce genre de stapsien est plus rare à croiser… La plupart du temps, le stapsien s’affiche ostensiblement en tant que tel… et ce, pas la biais de ce sac bleu et rouge typique, commun à toutes les formations STAPS de France… Tenu en main ou porté par-dessus l’épaule, ce sac est l'INSTRUMENT INDISPENSABLE du stapsien… dedans, il a tout son matériel de survie : maillot de bain, chaussures de sport, short, bouteille d'eau… boxer ou slip, t-shirt, chaussettes, serviette (propres ou ayant servi, sentant bon la lessive ou, après des heures de pratique sportive, sentant bon la transpiration, associée à quelques autres bonnes odeurs de mec)… la panoplie ne serait pas complète sans un flacon de gel douche et, bien sûr, son déodorant… eh oui, le stapsien est un pro avant tout ! Le stapsien semble carrément inséparable de son sac bleu et rouge… t’as l’impression qu’il va faire les courses avec, qu’il va en boîte avec, qu’il part en vacances avec, qu’il dort avec, qu’il drague avec, qu’il baise avec... ce sac est presque une uniforme… avec le charme qui va avec… Non, STAPS, ce n’est pas juste une filière à former des sportifs, c’est aussi et avant tout une usine à bogoss… ou alors, il y a un critère obligatoire d'entrée qui précise : être DEJA une méga bombasse... Tiens… il faudrait que j’envisage sérieusement à changer d’études… devenir prof en STAPS, voilà un métier d’avenir… Ou pas… car je tiens à ma santé mentale… J’essaie ...
    ... d’imaginer un amphi rempli de l’une de leurs promos… une vaste salle peuplée de bombasses atomiques, le regard braqué sur moi… putain… et je ne pense même pas aux vestiaires… Je divague… la nuit avance et j’ai vraiment la tête qui tourne, sévère… je plane, grave… plus ça va, plus je me sens déchiré… et le fait d’avoir ces deux « stapsiens » fixement installés au centre de mon champ de vision, ça n’arrange pas les choses… Jérém… Thibault… Thibault… Jérém… je les fixe l’un après l’autre, incessamment… et le simple fait de les mater provoque en moi des frissons géants, des décharges électriques dans le ventre… J’ai grave envie de reprendre Jérém en bouche pour terminer cette pipe brusquement interrompue quelques minutes plus tôt… quant à Thibault… envie de découvrir comment il est monté… envie de le sucer aussi… Jérém… Thibault… Thibault… Jérém… envies de fou… envie d’un plan à trois… envie de me sentir disputé entre les deux potes, entre les deux étalons… sacré tarpé… Je n’avais jamais touché à ça avant cette nuit… et tout à l’heure, en inspirant, je n’avais rien ressenti… mais dix minutes plus tard, le retour de bâton est bel et bien là, et je le prends de plein fouet… Et ce n’est pas fini, loin s’en faut… Jérém sort un autre bédo de la poche de son short, le porte à ses lèvres, l’allume en faisant une petite coque de protection avec ses deux mains… il tire vigoureusement dessus et laisse ensuite échapper un bon nuage de fumée à la couleur et à l’odeur typiques… le joint passe ...
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