1. Madame Nathalie


    Datte: 19/08/2019, Catégories: fh, fplusag, jeunes, Collègues / Travail lunettes, école, Voyeur / Exhib / Nudisme vidéox, photofilm, Masturbation intermast, nopéné,

    J’y ai passé deux ans, deux années riches en expériences insolites qui ont rattrapé la monotonie de la vie d’étudiant que j’avais quittée en y entrant. C’était un établissement de la banlieue parisienne, loin des clichés et des mythes urbains, mais de la banlieue quand même. J’étais le quatrième d’une équipe d’aides-éducateurs formée de deux filles et deux gars. Il y avait Djamila, une Kabyle à la longue chevelure châtain clair et aux yeux en amandes, variant entre le bleu et le vert selon son humeur, une peau mate et les lèvres charnues. Ses joues étaient rondes, la courbe de ses hanches généreuse et une poitrine à la mesure de son caractère, généreux et empreint de joie de vivre. Elle n’aurait pas pu, pour ces raisons, viser le mannequinat, mais je trouvais qu’elle dégageait une grande sensualité. Et il y avait Marie. Elle me parut incroyablement jeune la première fois que je la vis. Frôlant tout juste les dix-huit ans en apparence, elle avait dans les faits vingt-quatre ans. Son caractère allait de pair avec ce physique de petite minette. Immature, changeante, elle s’outrait de la moindre expression un peu vulgaire ou à caractère sexuel. Un de mes passe-temps favoris était de lui susurrer à l’oreille de nouvelles expressions en langues diverses ou tirées de l’ancien français. Sa peau blême devenait écarlate, faisant disparaître ses taches de rousseur, ses yeux bleus viraient au noir. Elle avait alors pour habitude d’émettre un bruit entre chouinement puéril et gémissement ...
    ... rauque et exclamatif, en mordant une de ses nombreuses mèches blondes si claires qu’on aurait pu les croire transparentes. Elle n’était pas très grande et tout en attitudes lascives, qui me faisaient parfois penser aux nymphes dessinées par certains auteurs de bandes dessinées. Cependant elle m’agaçait avant tout, au mieux elle m’amusait ponctuellement. Enfin le dernier de mes collaborateurs directs était Jean, Monsieur Sport, une armoire bretonne, qui était passé par la musculation, le football américain, le pancras et tutti quanti et qui n’aspirait qu’à deux choses : enfiler tout ce qui possédait un beau cul (pour reprendre son terme) et conduire tout ce qui pouvait rouler à plus de cent quatre-vingt kilomètres à l’heure. Tout un programme. Je trouvai très vite mon équilibre dans ce milieu, entre animations périscolaires, aide dans les classes, surveillance, revendications entêtées des professeurs… Deux heures par semaine, j’étais rattaché aux activités de Madame Nathalie, un professeur de français qui s’était mis dans la tête de réaliser un court-métrage avec ses élèves. Nous étions dans sa classe pour préparer le matériel. Elle était petite, brune aux cheveux qui arrivaient au ras des oreilles, toujours en jupe tailleur noire ou grise. Ni jolie ni laide, mais avec de très belles jambes. J’aimais aussi lorsqu’elle mettait ses lunettes pour visionner les vidéos ou lire : elle prenait un autre air, un peu plus évocateur, pour le mâle que je suis. Tout se passait normalement, ...
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