Madame Nathalie
Datte: 19/08/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
Collègues / Travail
lunettes,
école,
Voyeur / Exhib / Nudisme
vidéox,
photofilm,
Masturbation
intermast,
nopéné,
... nous étions chacun de notre côté pour rassembler le nécessaire lorsqu’un "Ho !" de surprise me fit sursauter. Elle tenait le caméscope dans la bande et ses yeux étaient fixés sur le petit écran. Son vocabulaire, habituellement assez riche, se limitait à des « Ce n’est pas possible ! Qu’est-ce que c’est ! Non ! » répétés en boucle. Je vins à ses côtés et je compris sa réaction. Sur le film, on voyait en gros plan et de trois quarts profil, le torse d’un homme musclé. Le plan s’élargissait quelques secondes, laissant admirer une nudité intégrale mais aussi, et surtout, un beau membre vigoureux que son possesseur caressait tendrement. Le cadrage coupait le visage et je compris que les coups de zoom étaient gérés par le sujet lui-même avec sa main libre. Je reconnus la pièce, la salle de montage et j’eus vite une idée sur la personne que je gardai pour moi. Madame Natalie restait pétrifiée devant le film et ses mains étaient crispées sur la caméra. Les gros plans se firent plus précis, et le cadrage ne comprenait bientôt plus qu’une grosse verge turgescente qui éclata dans une gerbe de sperme. La scène avait été courte, guère plus de trois à cinq minutes. Elle se tourna vers moi. Nous étions côte à côte et je sentais son parfum. — Qu’allons-nous faire ? Il faut montrer ça au principal non ? Son ton était d’un dramatisme burlesque. J’avais reconnu Jean. J’étais surpris mais, malgré son côté lourdaud, je l’aimais bien. Je lui répondis : — Vous savez qui c’est ? Moi je ne vois ...
... pas…— Voyons, David (c’est mon nom) ! Trois personnes ont la clef de la salle de montage : Madame la principale, moi-même et Jean ! Ca limite les possibilités non ?— C’est sûr… Je me creusai la tête pour déterminer comment gérer au mieux la situation pour mon collègue. Puis, ne pouvant réfléchir davantage, je lançai sans conviction : — Il faudrait peut-être voir avec lui, avant d’alarmer le banc et l’arrière-banc. Il a peut-être une explication acceptable, si c’est bien lui… Elle eut alors une réaction surprenante. Elle rembobina la cassette et remit la vidéo en marche. — Regardez ! Ca ne peut-être que lui ! Vous avez vu la carrure !— Heu… Non, merci, j’ai déjà vu… Elle se frotta le menton et moi je me grattai la tête en la fixant. Dans un geste simultané de nos bras, nos mains se frôlèrent. Je me rendis compte que je ne connaissais rien d’elle, je ne savais pas si elle était mariée, son âge (que j’estimais entre trente-cinq et quarante ans…). Je me mis à l’imaginer en dessous noirs, puis dans les plus outrageantes positions. Son regard était rivé sur l’écran, les yeux plissés, comme si elle cherchait un détail compromettant, décisif. Je commençai à trouver la situation plutôt excitante. Le temps passait lentement et en silence, mon cœur battait tambour. Je transformai le frôlement en un contact plus appuyé. Je m’attendai à un réflexe de recul, mais il n’y en eut pas. Je fis passer ma main derrière pour toucher du dos le haut de sa cuisse, qui correspondait au bas de sa jupe ...