1. Une matinée bien remplie


    Datte: 19/08/2019, Catégories: ff, fbi, complexe, sauna, magasin, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, rasage, fdanus, init,

    ... qu’ainsi. Pendant ce temps, Anne obéit, s’installe sur la table après avoir ôté son peignoir. Elle regarde Véronique, plus jeune qu’elle, la petite trentaine. Elle se l’imagine nue plutôt que portant sa blouse, imagine ses petits seins tendus, bien moins lourds que les siens, son ventre tout lisse, comme elle n’a jamais osé le faire. Elle sent son ventre se serrer. Un désir subit de prendre du plaisir, même avec une femme. De sentir des mains sur elle, des caresses. Tout se passe en un éclair. Véronique commence à s’occuper de ses aisselles. — Vos dessous sont superbes, mais toujours aussi sages. Vous devriez plus vous mettre en valeur, vous savez, un peu de piment est toujours bon dans un couple. Entendant cela, Anne ne savait quoi dire. Elle regarde Véronique et ne peut s’empêcher de voir son décolleté, ses seins libres sous sa blouse un peu ouverte. Elle sent une excitation monter en elle, son sexe s’ouvrir, ses seins se tendre. Les aisselles sont finies. — Oui, Véronique, mais vous savez, à mon âge… et, en plus, je ne saurais trop où aller…— Tss. Beaucoup de plus jeunes aimeraient être aussi désirables que vous. Alors que fait-on pour le maillot ? Disant cela, Véronique a laissé sa main passer sur le sein d’Anne. Comme par inadvertance. — Allons, vous avez raison, il me faut un peu… me laisser aller. Je vais essayer au moins les lèvres, dit Anne, rougissant.— Bien, vous verrez, je suis sûre qu’il aimera. Ôtez votre slip, Anne. Comme hypnotisée, Anne, n’ose même pas ...
    ... vraiment réagir. Rouge et honteuse, elle obéit et ôte son slip, découvrant sa toison noire et drue. Véronique prend place entre ses jambes. — Juste les lèvres, vous êtes sûre ? Disant cela, elle commence à tailler la toison. — Oui, bien dégagée, nous verrons une autre fois pour le reste. Elle applique les bandes de cire délicatement. Anne sent son sexe s’ouvrir, de honte, d’excitation aussi. Véronique arrache les bandes de cire, puis applique une crème apaisante. Sa main caresse les lèvres d’Anne, remonte jusqu’à l’aine et repasse à la limite de son mont de Vénus, seul endroit où les poils sont encore présents désormais. Une petite bande. Véronique lui sourit. — N’est-ce pas plus doux ainsi, vous voyiez, ce n’était pas si terrible… Elle voit le sexe d’Anne s’ouvrir, son clitoris se gonfler. Ses mains continuent leur massage apaisant, mais si excitant. Sage encore… — Oui Véronique, continuez. Et elle avance son bassin à la rencontre des mains de Véronique en signe d’acceptation. Les doigts deviennent plus inquisiteurs. Ils ouvrent maintenant pleinement les grandes lèvres, massent ce clitoris. Redescendent vers l’anus bien exposé et lisse aussi. Anne est trempée, ouverte et indécente devant son esthéticienne. Elle ne peut s’empêcher de gémir. Rougissante, elle plaque son sexe sur les mains de Véronique. Deux doigts ouvrent ses petites lèvres, remontent vers son clitoris, redescendent et massent son anus. Elle a honte, mais ne sait comment s’arrêter. Trop longtemps que Jacques ne l’a ...