1. Une matinée bien remplie


    Datte: 19/08/2019, Catégories: ff, fbi, complexe, sauna, magasin, cérébral, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, rasage, fdanus, init,

    ... pas caressée et faite jouir. Elle ouvre encore plus les jambes, sent les deux doigts de Véronique rentrer dans son sexe facilement, en ressortir et se présenter sur ses reins. Elle avance alors encore plus à la rencontre des doigts et les sent investir enfin son anus depuis trop longtemps inexploré. De ses deux doigts, Véronique lui branle maintenant l’anus sans retenue. De son autre main, elle lui caresse le clitoris, la pénètre par-devant. Ses doigts se rejoignent alors, juste séparés par la fine paroi entre son anus et son con. Et Anne, dans un souffle, jouit enfin de ses caresses. Son anus et son con se contractent longuement autour des doigts de Véronique qui lui rend un grand sourire… — Vous êtes très belle quand vous jouissez ainsi, Anne. Depuis le temps que j’avais envie de vous caresser et de vous voir ainsi. Anne ne sait que dire, mais sent que sa vie tranquille de bourgeoise sage bascule aujourd’hui… — Véronique, je ne sais que dire, comment vous remercier. Vous m’avez tant… troublée, dit-elle, honteuse et rougissante.— Promettez-moi juste de garder cela pour vous. Et de me laisser vous épiler complètement la prochaine fois, Anne, comme je le suis de mon côté. Sur ces mots, elle vient à côté d’Anne et ouvre sa blouse. Elle est nue dessous. Elle prend la main d’Anne et la pose sur son sexe. — Regardez comment vous m’avez aussi excitée. Cela ne m’arrive pourtant jamais avec une cliente. Anne caresse le sexe lisse de Véronique, ne peut s’empêcher de laisser ses doigts ...
    ... la pénétrer. Elle est tellement ouverte, humide. Véronique gémit. — Oui, encore… Elle se branle littéralement sur la main d’Anne. Ses mains s’appuient sur la table. Elle ne peut s’empêcher de jouir rapidement, juste au moment où on frappe à la porte du cabinet… Véronique se reboutonne, va ouvrir. C’est juste sa collègue. — Oui, nous avons juste terminé…— Vous pouvez vous rhabiller Anne. Encore toute pantelante, Anne se lève, remet son peignoir et sort vers le vestiaire. Elle s’y rhabille, passe son chemisier blanc, sa petite jupe et… elle a oublié sa culotte dans le cabinet. Mais difficile d’y aller maintenant, d’aller la réclamer. Elle décide de s’en passer et de sortir ainsi. Elle se dirige vers l’accueil pour régler sa note. Véronique l’y attend avec un grand sourire. — Tout a bien été, Anne ?— Oui, bien sûr, je vous en remercie.— On se sent mieux ainsi, n’est-ce pas ? Cela fera 150 euros, je vous ai fait une petite réduction pour l’épilation. Anne rougit. Elle pense « Ainsi… Réduction pour l’épilation… » Elle sort sa carte bancaire, et voit alors sur le comptoir sa culotte. — Oui, mieux ainsi, Véronique, différente en effet… Elle paye. — À bientôt, Anne.— À bientôt, ose-t-elle à peine répondre en sortant. La voici dans la rue. Nue sous sa jupe, les lèvres lisses et encore gonflées de plaisir. Elle va pour rejoindre sa voiture. Midi et encore tant de choses à préparer pour ce soir. Une devanture l’attire. Une superbe robe : fourreau noir, dos nu, juste au-dessus du genou, ...