Drague avec mes fesses (2)
Datte: 20/08/2019,
Catégories:
Lesbienne
Je la regarde un peu mieux, elle est aussi grande que moi, je ne peux la détailler plus, son manteau de cuir cache toute sa ligne, je ne peux dire qu’une chose, c’est qu’elle est assez mince. Nous marchons en nous promenant dans les immenses couloirs de la station. Plusieurs hommes et femmes nous suivent sans nous doubler. Il faut dire qu’à chaque pas, ma jupe se soulève un peu derrière, dévoilant le bas de mes fesses. Carole me regarde. –Excuse-moi, mais je trouve que tu as une drôle de démarche. –J’ai mis au point une démarche qui fait un peu valser ma jupe, à chaque pas, je donne un micro coup de rein en arrière, ma jupe se soulève, et les personnes qui me suivent peuvent voir un peu de mes fesses. –C’est pour ça qu’il y a tout ce monde derrière nous. –Et oui, tu vois, c’est efficace. –Comment tu fais pour supporter ce froid. –J’ai froid, mais j’aime ça, ça m’excite, c’est ce qui me le fait supporter, tu devrais essayer. –Comment ça ? –En t’habillant comme moi, juste une jupe et un corsage, avec en hiver un blouson comme le mien, bien chaud, le haut est toujours plus délicat. –Ok, je le ferais, mais il faudrait que tu m’accompagne les premières fois, tu pourras. –Bien sûr. Nous arrivons sur le quai de la ligne A. Quand le train arrive, je me débrouille pour entrer dans les premiers et je monte lentement les escaliers donnant à l’étage. Je remarque un homme qui a ralenti quand il est arrivé derrière moi. Ceux qui sont restés en bas lèvent la tête et se régalent. Arrivée en ...
... haut des marches, je me penche un peu en avant. Je fais semblant de chercher une place, il n’y en a pas. Je fais demi-tour pour redescendre l’escalier en levant bien la jambe pour bien dévoiler mon pubis glabre. Je remonte de l’autre côté. Les mêmes personnes se déplacent et lèvent la tête quand je monte. Carole me suit comme mon ombre à deux ou trois mètres derrière. Je trouve une place, je l’attends. –On se met là ? –Il n’y a qu’une place. –Tu t’assoie et je m’assois sur tes genoux, d’accord ? –Ok. Carole écarte les pans de son manteau en s’asseyant, je m’assoie sur ses genoux, mais elle a parfaitement compris ce que je voulais faire et serre bien ses jambes. De ce fait, je suis obligée de m’assoir légèrement en travers. Elle pose négligemment sa main sur une de mes cuisses. Nous discutons de tout et de rien, comme si nous nous connaissions depuis toujours. Sa main se balade négligemment sur ma cuisse sous les yeux des cinq personnes assisent à côté de nous. Personne ne réagit. Les stations défilent. –Pourquoi n’avons-nous pas pris la ligne 1 à Châtelet ? –Parce que les métros n’ont pas d’escaliers. –Ok, je commence à te cerner. La station La Défense arrive, nous descendons et allons prendre un café dans un des bars du coin. –Tu sais, je me suis fait quelques souvenirs. –Ah bon ? –J’ai pris des photos. –De moi ? –De ton cul bien sûr. –Montre. Elle me fait voir les photos qu’elle a pris avec son smartphone quand je montais les marches du train. Pour une fois, je vois ce que ...