1. Drague avec mes fesses (2)


    Datte: 20/08/2019, Catégories: Lesbienne

    ... grand-chose. Je peux enfin regarder Carole, c’est une très belle femme, belles fesses, beaux seins, belles jambes, en définitive pas si fine que ça, vraiment ce qu’il faut là où il le faut, j’adore son corps. Elle repère le divan et se jette dessus sur le dos. Je me jette sur elle, en lui présentant ma moule et me jetant sur la sienne. Nous nous activons sur le sexe de l’autre avec délice. Je l’aspire, la mordille, la suce, la bois. Elle m’aspire, me mordille, me suce, me bois. Elle se tortille sous mes caresses, je me tortille sous ses caresses. Nous finissons par jouir à l’unisson. Je me sens bien, j’ai l’impression qu’il va se passer quelque chose avec cette femme. Je me laisse aller sur elle, mes bras enserrent ses jambes pour les réunir, son clitoris émerge à peine de ses lèvres. Ma bouche se pose sur son pubis, je fais glisser mes lèvres vers sa vulve fermée. Ma bouche arrive sur son clitoris bien caché par ses lèvres sur lesquelles je dépose de temps en temps un baiser. Nous sommes collées l’une à l’autre, peau à peau, nous respirons lentement pour récupérer et s’imprégner du corps de l’autre. Je me redresse, me lève, la fait se lever pour l’embrasser. Nous échangeons un baiser torride. En face, toujours Guillaume qui est constamment assis devant la fenêtre de son salon, il a soixante-douze ans et reste chez lui toute la journée, il ne sort que rarement. Il me fait un signe de la main avec un grand sourire. Je lui réponds. –Qui est ce ? –Guillaume, il est à la ...
    ... retraite et regarde toujours ce qui se passe en face assis là, devant sa fenêtre. Il adore me voir me balader à poil. –Ça, je comprends. –Je l’ai toujours connu, il venait de temps en temps chez nous avec sa femme qui était beaucoup plus jeune que lui. Il connaissait très bien mon père, il avait été son prof de math au lycée. Sa femme l’a quitté il y a quelques années parce qu’il ne gagnait pas assez d’argent, elle est partie avec un autre homme plus jeune. –La salope. –Comme tu dis. Carole lui fait un petit signe, il lui répond. –Il doit se taper de belle branlettes en te regardant. –Jamais, je ne l’ai jamais vu se branler devant moi. –Là, je dis bravo. –Et si on mangeait un peu. –Ok, tu as de quoi ? –Ne t’en fait pas. Je prépare à manger rapidement, vers treize heures, nous avons fini. Nous sommes toujours nues et guillaume n’a quitté sa fenêtre que le temps de se préparer un sandwich. Carole me prend dans ses bras et me serre contre elle. –Tu sais que tu me plais de plus en plus toi, je suis toute chose là, collée contre ton corps. –Je dois dire que moi aussi j’aime bien sentir ta peau. –C’est tout ? –Et aussi ton joli petit minou que je brouterais bien maintenant. Laisse-toi faire. Je m’accroupie devant elle, pose mes mains sur ses fesses et l’attire à moi. Ma bouche se pose sur ses lèvres, ma langue les titille, remonte pour lécher son clitoris qui pointe, et s’excite dessus. Elle jouit très vite. –OOOOOHHHHH oui, oui, oui. Je bois son jus d’amour avec délectation. Quand j’ai ...