La Muse (15)
Datte: 21/08/2019,
Catégories:
Lesbienne
... raison : ce genre de massage est un véritable délice ! À un moment j’avais mon visage juste au-dessus du sien ; elle ouvrit les yeux et, me fixant avec un regard de feu, elle me prit par les cheveux et me tira à elle pour plaquer ma bouche contre la sienne. Je ne pus résister à la puissance de sa langue qui forçait ma bouche à s’ouvrir ; sa langue envahit ma bouche et alla chercher la mienne. Elle m’embrassa comme une furie, notre salive coulait le long de son cou, puis elle me tira en arrière. — Il va me le payer ! Fais-moi l’amour : on va le faire cocu et, avant de le larguer, je vais tout raconter à lui qui est jaloux et qui n’aime pas les « gouines », comme il dit. Nous avons fait l’amour à même le sol. Ce n’était pas un amour tendre et câlin, mais plutôt une sorte de joute, presque un combat. Nous nous étions embrassées comme des folles, nos tétons nous faisaient mal à force de nous les mordre et de nous les pincer. C’est la chatte en feu que nous avons terminé la séance : je lui ai mis trois doigts dans la chatte, elle a essayé de me mettre la main ; nous avons joui en même temps en râlant comme des bêtes sauvages. Alerté par le bruit, Cécile était revenue pour voir ce qu’il se passait : — Hé, les gouines, il va falloir vous bouger : le salon ne va pas tarder à rouvrir ! Avec Caro, nous sommes allées prendre une douche ensemble. Je n’avais ouvert que l’eau froide ; elle était glaciale. Caro m’a plaquée contre la paroi et m’a embrassée à nouveau. L’eau glaciale rendait ...
... mes tétons durs et sensibles ; elle me les pinçait d’une main et me masturbait la chatte de l’autre. Elle m’a envoyée à l’orgasme en deux minutes. Bien fraîches et comblées, nous nous rhabillâmes et rejoignîmes Cécile. — Caro, que vas-tu faire maintenant ? demanda Cécile. — Je vais lui raconter ce que Jen et moi avons fait, et après je fais mes valises et je me casse. La jolie partie de cul que nous venions de nous offrir me donna une idée : — Attends, j’ai une idée ; voilà ce qu’on va faire […] seulement, Cécile, j’ai besoin de toi et de Bruno. — Belle idée : Bruno va adorer. Je lui en parle et je t’appelle. Bon, il est temps de filer : la patronne va arriver, et même si elle est au courant, je préfère qu’elle ne vous voie pas. — Jen, ton idée est excellente ! conclut Caro. Caro et moi sommes parties toutes les deux ; nous nous sommes installées dans un café au fond de la salle, nous avons commandé un chocolat chaud et nous avons discuté longtemps. Arrivées au troisième chocolat chaud, nous étions devenues deux copines dégoûtées des mecs. Nous avions peaufiné notre plan : le traquenard que nous avions imaginé était digne d’une intrigue policière. Cécile m’avait appelée pour me dire que Bruno était d’accord, mais dans quatre jours. — Jen, je ne vais pas pouvoir continuer à vivre avec lui pendant quatre jours, je vais péter un câble avant… me dit-elle. Je ne pouvais pas la laisser comme ça ; solidarité féminine oblige, je lui fis immédiatement cette proposition : — Si tu veux, ...