1. DELIRES MAIS PAS QUE


    Datte: 22/08/2019, Catégories: Dans la zone rouge,

    - Ecarte, écarte plus, je la veux en gros plan. Parfait. Plie les genoux. Oui, bravo. Ouvre-la encore, sois obscène, caresse-la, cajole ton clito, ajoute un doigt. Continue. Un doigt de plus. En me regardant. Je veux que tu jouisses. Branle-toi. Plus vite, plus fort, plus profond. Elle explose. Fraction d'instant. Plus rien n'existe, tout son corps exulte, agité, convulsif. Elle est magnifique. Je bande comme jamais. Lente descente de nirvana à douce béatitude. Elle dégouline, dégage une fragrance puissante, âcre et musquée de salope qui vient de jouir. J'adore. Ma queue autant, sinon plus. - Concentre tes doigts sur ton joyau que j'introduise ma langue par-dessous pour déguster ton jus de femelle excitée, Nectar divin. P est allongée sur le dos, offerte et nue au milieu de notre terrain de jeux favori, un lit rond spécial délires qui même quand nous n'y jouons qu'à deux, avec douceur, tendresse ou passion, laisse planer l'image de toutes les fantaisies lubriques que son originalité suggère. Moi, sur le ventre, visage entre ses cuisses ouvertes, je lui bouffe les muqueuses entre plis et replis de sa chatte glabre et tumescente qu'elle écarte de ses mains pour mieux me l'offrir. Je me goinfre et bande à en souffrir malgré le moelleux de la couette sur laquelle s'épanouissent ma bite tendue à mort et mes couilles archi-pleines. P et moi sommes amants depuis peu, rencontre brûlante dans des circonstances égrillardes, que je vous raconterai peut-être, coquines et coquins de ...
    ... lecteurs, si vous l'êtes suffisamment pour prendre la peine de me faire savoir que vous appréciez mon style élégant et précis, l'absence de phôtes d'haurtaugraf dans mes textes et surtout ma modestie aussi naturelle qu'exemplaire. Elle va jouir encore, mouille tant que je risque la noyade. Prudent, je remplace ma langue par l'index et le médius de ma dextre. Ce que je perds en goût, l'ouïe et la vue le gagnent. Son odeur intime m'enivre. J'avais deviné juste. Floc-ploc de mes doigts qui agacent son point G déclenchent un geyser qui m'aveugle. Fontaine que je découvre, qui ignore les montagnes de plaisirs que je vais développer en m'abreuvant à sa source et la partageant. Je jouis. Sans pénétration ni m'être touché. A peine frotté sur la housse de couette en lui bouffant la chatte. Apaisée, offerte, alanguie, langoureuse déjà, elle attend la suite. En quelques semaines, je lui ai fait parcourir non pas au pas mais aux chibres de charge la quasi totalité de la palette des jeux du sexe à deux, trois, puis davantage, en privé, bars coquins, restaurants, sex-shops, clubs libertins, comme il convient d'appeler maintenant ce qui était "clubs échangistes" ou "boîtes à cul" jusqu'au début des années 2000. On y baise de moins en moins à mesure que les additions y grimpent, curieux phénomène de vases communicants ou peu-niquants, comme vous préférez. Aucun n'égale ce-jour feu le Cléopâtre ni surtout feu le Roi René, lieux quasiment mythiques où l'on dînait fort bien avant de vivre à fond et ...
«123»