DELIRES MAIS PAS QUE
Datte: 22/08/2019,
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Dans la zone rouge,
... tréfonds nos fantasmes dans les différents salons, après s'être parfois offerts de plaisants acomptes dès le restaurant… Déçu par les clubs, j'ai entraîné P, ma nouvelle maîtresse dans divers lieux publics, de jour un peu, de nuit davantage avec des fortunes diverses. Plus de maréchaussée que de coquins dans les bois, Boulogne ou Vincennes. Il est bien loin le temps ou les patrouilles de nuit y protégeaient les partouses en échange de gâteries que les participantes adoraient d'autant plus leur prodiguer que cela redonnait de la vigueur à leur compagnons. Quelques exhibitions à la sauvette… Une exceptionnelle bien trash sur un parking où les routiers attendent l'ouverture du marché de Rungis. Ma nouvelle compagne y a montré qu'elle savait calmer avec enthousiasme et savoir faire les désirs visibles qu'elle avait provoqués. Me restait à battre le tamtam des amis échangistes, partousards des deux sexes, gang-bangueurs et bang-gueuses que quelques années loin de la France m'avaient conduites à négliger. Succès immédiat. Les amis, ça existe. Et Dieu soit loué, grands coquins et copines coquines ne perdent pas leurs manières singulières d'aller à con-fesses. Et P, ma nouvelle maîtresse qui aime tout, excelle en tout du premier coup, ce qui appelle les suivants, réclame le renouvellement des expériences accomplies, attend de chatte ferme les découvertes à venir, avec le sourire et sans culotte. Multiplication des invitations. J'en suis à me demander comment je vais gérer la montée ...
... en puissance de nos délires communs et progressifs. Elle est jeune, moi moins, disons un gros peu moins, même si j'affiche de beaux restes et ne rechigne pas, bien au contraire, à me faire aider pour lui donner un maximum de plaisirs. J'ai aussi adoré la con-fronter au frottage de cons sous mes yeux avec une de mes ex qui a toujours préféré les chattes à ma bite mais ne détestait pas ma présence à ses joutes lesbiennes qui se terminaient souvent par mon entrée en jeu. J'ai révolutionné la garde-robe de P, noyant ses tenues conventionnelles ou peu explicites sous de nouvelles, choisies pour mettre son corps en valeur de manière si précise que seuls les non-voyants peuvent en ignorer l'appel au sexe. Le cas ne s'est pas produit, mais je suis certain que le cas échéant, elle n'hésiterait pas à leur prendre la main pour leur faire toucher d'abord d'un doigt ou plusieurs ce qu'elle, par pure charité chrétienne, serait disposée à leur offrir. Cela ne me choquerait pas, mais tout de même, il leur reste quatre sens sur cinq, aux miros, et parait-il que leur cécité développe leurs autres perceptions, ce qui leur donne un réel avantage sur les malheureux qui disposent d'une sensorialité banalement totale. D'accord, ils ne la voient pas, mais ils sentent mieux le grain de sa peau sous leurs caresses, l'entendent mieux quand elle jouit, perçoivent mieux l'odeur et le goût de sa cyprine quand leurs lèvres, bites, doigts ressentent plus fort les pénétrations de ses orifices, l'exploration ...