Ecole du sexe (18)
Datte: 22/08/2019,
Catégories:
Hétéro
... anal s’était déroulé à merveille, n’avait pas été rangée ; les tables étaient alignées par rangée, deux chaises en face chacune. Au niveau du tableau, à notre gauche, nous vîmes une femme brune, âgée environ de la quarantaine, avec un visage aussi naturel que peut l’être un tas de fond de teint décoré avec du mascara, de l’eyeliner et du rouge à lèvres. Je m’attendais presque à trouver, derrière sa robe bleue descendant jusqu’à mi-cuisse, des porte-jarretelles. Lorsqu’elle se leva, je découvris ses talons aiguille et, tandis qu’elle prit ses précautions afin de descendre de l’estrade, je découvris qu’elle s’était effectivement munie de porte-jarretelles noirs. Elle nous rejoignit au milieu de la salle de classe en se présentant : elle s’appelait madame Lassalop (le -p ne se prononce pas, ne sombrez pas dans la vulgarité, chers lecteurs). Plus qu’impatient de quitter cette salle embaumée par le parfum de cette examinatrice, nous passâmes à notre examen d’anatomie. Sans surprise, nous réussîmes à placer toutes les parties du corps. Après tout, une femme ne peut en être une si elle ne sait pas où se situent des testicules. Nous quittâmes alors la salle, non pas sans profiter de l’air frais une fois sortis. -Bon sang, qui aurait cru qu’on pouvait autant ressembler à du plastique ? se plaignit Alice. -Et ses parents ne lui ont jamais appris à économiser le parfum ? J’ai l’impression que mes narines vont exploser, ajoutai-je. -Y a pas à dire, c’est le pire exam qu’on ait eu à ...
... passer aujourd’hui. -Je te le fais pas dire. Et pourquoi ils font venir leurs examinateurs du bois de Boulogne ? Alice ricana et surenchérit, mais ne put achever sa phrase parce que Stéphane, accompagné de Véronica, nous rejoignit. Alice me fit tout de même remarquer que quelques gouttes de sang perlaient le long de son pénis. -Euh, tu coules, dis-je à mon ami tandis qu’il s’approchait. -Je coule ? Ah, ça ! réalisa-t-il. C’est rien. Enfin si, mais considérez que non. -Tu t’es fait ça comment ? demanda Alice. -J’ai paniqué pendant l’examen d’amour sensuel, répondit Véronica. Du coup, pendant la fellation, je l’ai mordu. Je fermai les yeux en mimant un visage déformé par la douleur. -C’était pas ta faute, lui assura Stéphane. L’examinateur est un vrai connard. Apparemment, il s’amuse à faire stresser les étudiants. Je ne suis d’ailleurs pas le seul à le dire. Tu peux demander à ta sœur. Pendant son tour, il a tellement fait stresser Romaric qu’au lieu de pénétrer le vagin de ta sœur, il est passé par son cul. Je te dis pas comment elle a hurlé, surtout qu’elle ne s’y attendait pas. Je ricanai en imaginant la scène. Ma sœur et ses fameuses cordes vocales beaucoup trop puissantes pouvaient parfois hanter mes nuits. Alors l’entendre hurler, je ne voulais même pas imaginer. -Bon, c’est pas tout ça, mais je dois vous laisser. Je vais à l’infirmerie avant que l’expression « pisser le sang » ne devienne littérale. Il s’éloigna, Véronica sur les talons. Cette dernière semblait s’en vouloir, ...