Ecole du sexe (18)
Datte: 22/08/2019,
Catégories:
Hétéro
Lorsqu’Alice et moi-même quittâmes la salle, nous exaltions. Notre performance avait plu à l’examinateur, et plus important encore, nous avions adoré la mettre en scène. Je me revoyais jouer le médecin, ma blouse blanche recouvrant ma peau nue, et effectuer ces divers petits jeux érotiques à ma petite-amie. De son côté, Alice semblait également ravie. Elle m’avoua même qu’elle voudrait faire ce genre de choses plus fréquemment. Nous passâmes le reste de la journée à espérer que nos amis, notamment Stéphane et Véronica, parvinssent à décrocher ce diplôme de fin d’année. Le soir même, Alice et moi allâmes dans notre chambre et, défaisant les draps rouges recouvrant notre petit nid douillet, nous y plongeâmes avant de nous reposer, épuisés par nos prestations. Le lendemain matin, nous nous réveillâmes de bonne humeur. Le contraste avec la nuit précédente était flagrant ; nous pouvions même dire que nous avions dormi comme des loirs. Alice et moi nous réveillâmes, nus -comme toujours- et prêts à en découdre. Onze heures sonnèrent aux horloges de l’école. Pour la plupart des étudiants, cela ne signifiait qu’une seule chose : il ne restait plus qu’une heure avant de profiter des bienfaits apportés par la nourriture proposée au réfectoire. Pour nous, en revanche, cela marquait le début de notre nouvelle épreuve : la sodomie. -Tu es prête ? demandai-je à Alice. -Autant que toi, voire plus, sourit-elle. En lui prenant la main, nous avançâmes vers notre prochaine salle d’examen. À ...
... l’intérieur, des rangées de tables avaient été ramenées dans le fond de la salle, c’était d’ailleurs la seule chose, hormis le tableau à craies accroché au mur à gauche de l’entrée, qui nous laissait deviner qu’il s’agissait d’une salle de classe. Seule une table et une chaise n’avaient pas été déplacées, et notre examinateur, un grand homme de couleur portant des lunettes de vue, un costume accompagné d’une cravate et, probablement, d’un pantalon que nous ne pouvions distinguer à cause de la table placée devant lui, y était installé. -Vous êtes bien Alice Grossun et Bastien Gépadidé ? Nous acquiesçâmes, incapables de prononcer le moindre mot à cause du stress qui, subitement, avait fait son grand retour dans nos esprits échauffés par ces journées laborieuses. -Vous pouvez commencer quand bon vous semble, nous précisa l’examinateur. Nous inclinâmes la tête, preuve que nous avions entendu. Alice et moi nous lançâmes alors un dernier regard complice avant qu’elle ne se dirigeât vers le bureau de l’examinateur et se pencha en avant, bombant son postérieur avec grâce. L’examinateur, quant à lui, s’était levé en maintenant sa cravate d’une main afin qu’elle ne s’envolât pas et, désormais, se trouvait accolé au mur présent à notre droite, entre deux fenêtres, seules sources de lumière de la pièce. Je me plaçai alors derrière ma bien-aimée et lui caressai les hanches avec mes mains. Alice ronronnait faiblement tandis que mes mains se rapprochaient de ses fesses. Lorsqu’elles les ...