La balade irlandaise
Datte: 22/08/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
grossexe,
facial,
Oral
Il n’est pas toujours aisé de travailler dans une multinationale, Balou le savait. Mais il arrive parfois au fil de la vie professionnelle que l’excès de dépenses, de stress, de manque de reconnaissance par la hiérarchie, engendre un mal être certain vers les salariés. Balou broyait du noir. Sa direction lui avait refusé une promotion, et la pilule était difficile à avaler, sachant qu’une autre personne avait été élue au poste convoité. De plus, la candidature de Marie pour le service export n’avait pas été retenue par la DRH. Cette accumulation de déceptions pesait sur lui. L’envie d’aller voir ailleurs si « l’herbe est plus verte » le démangeait, mais le remords également le taraudait, dans la mesure où il avait toujours été loyal et fidèle envers la firme. Marie s’était installée chez lui depuis un mois. Le relookage de l’appartement avait débuté. Balou avait laissé carte blanche à sa compagne, en plus il était nul en bricolage. Marie ne travaillait plus chez l’oncle Freddy le week-end, et ce, d’un commun accord avec Balou. Elle recherchait toujours un job stable, mais les travaux dans l’appartement accaparaient tout son temps dans l’immédiat. Magali, la filleule de Balou, le fuyait. Plus de deux mois s’étaient écoulés depuis ce baiser qu’elle lui avait furtivement volé. Il commençait à comprendre son attitude engendrée vis-à-vis de Marie. Il ne pouvait évidemment en parler ni à sa compagne, ni aux parents de Magali. Il était peiné de la voir ainsi. Il fallait absolument ...
... qu’il trouve un moyen de la rencontrer seul. L’envoi de mails, de messages laissés sur son téléphone portable, rien n’y faisait. Cette petite peste faisait la sourde oreille. Il décida de quitter son bureau vers 15h pour rejoindre l’école où étudiait sa filleule. Il fit le pied de grue pendant un bon quart d’heure devant le portail d’entrée. L’air respirait déjà le printemps, les températures en ce mois de mars frôlaient les 20°. Les femmes commençaient à changer de tenue, dévoilant leurs charmes cachés par les vêtements d’hiver. Balou admira les passantes, les étudiantes portant des jupes, il appréciait le galbe des jambes ainsi que la courbe des fesses. Magali vit son parrain avant qu’il ne la voie. Son ventre se tordit. Instantanément, une bouffée de chaleur remontait dans ses entrailles, ses joues rosirent. Enfin, il était venu, se dit-elle. Le bonheur de voir Balou la ravissait complètement. Elle se dit en souriant que son manège avait fonctionné. Tout en marchant vers lui, elle se rappelait les séances de plaisir solitaire qu’elle s’octroyait chaque soir, les rêves érotiques, voire pornographiques qui l’assaillaient. Magali se voyait avec Balou. Lui, son visage embrassant sa blonde toison, elle, le chevauchant telle une amazone. Elle détailla la tenue vestimentaire de son parrain. Il portait un costume gris anthracite superbement bien coupé, une chemise rose pâle avec cravate assortie. Sa brune chevelure coupée court, ses tempes grisonnantes, le rendaient irrésistible. — ...