La balade irlandaise
Datte: 22/08/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
grossexe,
facial,
Oral
... Coucou ! Balou se retourna. Une déesse blonde sortie de nulle part lui faisait face. Il resta sans voix quelques secondes, puis prit la parole : — Bonjour, ma petite sirène. Cela fait un bail hein ? Ils se firent la bise. Magali portait une tenue complètement différente de celles que Balou avait l’habitude de voir. Il la détailla de la tête aux pieds. Elle portait une jupe écossaise, des bas couleur chair, un spencer assorti à sa jupe, de mignonnes bottines rouges. Ses cheveux blonds coiffés en queue de cheval laissaient voir son cou fin et gracieux. — Waouuuu tu es superbe ma chérie ! Magali rougissait en se mordant sa lèvre inférieure. Elle frétillait d’aise devant cet homme, elle avait envie de se jeter dans ses bras, mais retint son élan par pudeur. — Je t’invite à boire un café ? Proposa Balou. Elle accepta de bon cœur. Ils se retrouvèrent attablés dans un petit troquet sympa. Magali sirotait son coca light en écoutant parler son parrain. Celui-ci lui posa des tas de questions sur ses études. Bien évidemment, il aborda le sujet brûlant du moment. — Pourquoi me fuis-tu ainsi, qu’ai-je fait de mal ? Questionna-t-il.— Hum mm, c’est compliqué, tu sais, Balou. Répondit Magali en le regardant droit dans les yeux.— Allez, arrête de me faire des cachotteries, on se connaît depuis si longtemps. Magali posa sa main fine sur celle de Balou et dit : — Je ne suis plus un bébé, je ne suis plus la petite fille, ni l’adolescente délurée que tu connaissais. Je suis une femme qui aime un ...
... homme. Toi ! Balou la regarda intensément. Il était sidéré par cet aveu. — Allons, allons Magali, ce n’est pas raisonnable.— Je ne supporte pas que tu sois avec cette grande rousse. Tu ne penses plus à moi, tu ne m’accompagnes plus dans les boutiques, bref, tu m’as laissé tomber. J’en ai marre !! La situation semblait surréaliste, se dit Balou. Il faut absolument que je me sorte de là, pensa-t-il. Magali souriait. Son intimité commençait à dégager une douce moiteur. Elle caressait maintenant de ses doigts fins la main de son parrain. Balou la retira vivement comme s’il s’était brûlé. — Magali, ce n’est pas sage, mais je me mets à ta place, enfin, j’essaie. Souffla-t-il. Tu dois certainement avoir des copains cool dans ton entourage, non ? Cette gamine avait le feu aux fesses. Il ne reconnaissait plus du tout la petite fille, il avait devant lui une femme amoureuse qui le désirait. — Je me masturbe tous les soirs en pensant à toi, je sens ta queue en moi, je jouis grâce à toi, et par toi uniquement. Lança Magali. Balou espérait que personne n’écoutait leur dialogue. Il ne savait plus que faire. L’unique solution consisterait à partir en courant. Cependant, il craignait que Magali colporte des ragots infâmes à son sujet, du genre « mon parrain m’a touchée et caressée »… Bonjour la réputation se dit-il. Comme si elle avait lu dans ses pensées, Magali lança : — Je ne m’abaisserais jamais à salir ta réputation en colportant de vils ragots, sois-en assuré.— Bon, voilà au moins un ...