Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (8)
Datte: 22/08/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
... niveau. On se laisse convaincre. Nous voilà chez elle et on a planifié la nuit, agitée pour nous les hommes, blanche pour elle. On va en effet passer environ trois fois une heure chacun son tour avec elle, en alternant, ce qui nous permet d’avoir chaque fois deux heures de repos consécutif. Autre exigence de la part de notre femelle, elle a réalisé qu’il n’y a que son cul qui a servi de vide couilles jusqu’à présent et elle tient à ce que ça continue pour que son record soit en prime exclusivement anal. C’est son grand-père qui couche le premier avec elle, tandis que je vais m’endormir avec mon beauf dans le canapé lit. Je suis en plein sommeil lorsque le vieux me réveille: c’est à ton tour, elle t’attend. Je me lève et il prend ma place pour récupérer. Vanessa est allongée, cuisses ouvertes, et ses doigts caressent paresseusement son clitoris et sa fente. Je viens contre elle et rajoute mes doigts aux siens: — C’est vrai que l’on n’a pensé qu’à ton fion, ta chatte a peut-être soif elle aussi! — Non, mais par contre elle a faim. — Et quelle est la différence? — Tu peux me baiser si tu veux, j’ai envie, mais tu termines entre mes fesses. — Ok, tu veux que je te prépare? — Non, tu es gentil, mais je suis toute mouillée, et puis j’ai trop envie. Je viens sur elle, prend mon manche à pleine main et guide mon gland entre ses lèvres. Elle n’a pas menti, elle est trempée, et ma queue disparait sans effort au fonds de son vagin. Je la baise tendrement, mais c’est surtout elle qui ...
... vient à ma rencontre, comme si sa chatte me faisait une pipe profonde. Elle gémit, miaule, puis pousse des petits cris. On est dans la nuit, je ne veux pas qu’elle alerte ses voisins, et je soude ma bouche à la sienne. Elle m’enlace et on se roule une pelle vorace. Nos langues s’aiment tout comme nos sexes, on baise tendrement mais intensément. Elle a un premier orgasme qui la fait trembler de partout, et s’agripper plus fort à moi. Elle relève ses jambes et les referme sur mes reins pour me garder en elle: — C’est bon, c’est bon comme tu me baises. Elle était en manque ma chatte, il n’y a que mon cul qui encaisse depuis plusieurs heures. — Je vais m’en occuper de ton huître, je vais bien te la farcir. — Mais ne déconne pas, tu jouis dans mon petit trou. — Ok, promis. Malgré la fatigue on continue à s’aimer sans arrêt, puisant dans nos ressources. Elle a jouis plusieurs fois, et je sens à mon tour que ça vient. Je la préviens et elle s’empresse de me libérer et de se positionner pour m’offrir son cul. Je m’y engage, la lime quelques secondes avant de faire pleurer mon créateur aux bord des larmes. Elle est ravie, moi aussi, on se fait un mini câlin et je part réveiller mon beauf pour qu’il me remplace et prendre sa place pour dormir. On me réveille, c’est papy, il me dit que c’est mon tour. Je me lève péniblement, mais quand faut-y-aller, faut-y-aller. Vanessa est allongée, les cuisses ouvertes, les yeux fermés, encore ses doigts qui tripotent nonchalamment son clitoris. Sa ...