1. Vanessa, elle existe, je l'ai rencontrée. (8)


    Datte: 22/08/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... vulve est luisante, odorante, appétissante. Je viens à quatre pattes entre ses jambes pour un cunnilingus auquel je ne peux résister. Elle soupire d’aise, ses mains s’agrippent à ma tignasse pour me plaquer contre son bas ventre: — Oui, c’est bon comme tu me lèches, heureusement que tu es là pour penser à mon minou. — Il n’y a pas pensé ton papy? — Non, il n’y a que mon cul qui l’intéresse, et c’est pareil pour ton beau frère. Ce sont des salauds tous les deux. — En même temps c’est ce que tu préfères, que l’on s’occupe de tes fesses, non! — Oui, mais là c’est trop. Elle est jalouse ma chatte, elle veut sa part elle aussi. — Je vais m’en occuper petite salope, je vais te la faire reluire encore plus, puis je vais venir dans ton cul juste le temps de décharger. Mais pour ça il faudrait que tu t’occupes de ma queue, que l’on se fasse un bon petit 69. Qu’est ce que tu en penses? Elle est ravie de ma proposition, et on se met en position. On se gloutonne en douceur, avec des mouvements lents dus à notre fatigue, mais très chauds en même temps tellement nos sexes sont désirables. Ma langue parcours sa fente, s’enfonce dans son vagin, mes lèvres aspire son bouton exacerbé, tandis que sa bouche mollassonne va et vient sur ma trique qui l’est de moins en moins. Elle dégouline cette coquine, sa choune était vraiment en manque, et elle m’abreuve de ses orgasmes répétés et intenses. Elle semble reprendre des forces et s’active de plus en plus pour m’éplucher le poireau. C’est bon, super ...
    ... bon, je bande à mort, et je sens la sève qui monte. Je me dégage et elle s’empresse de se positionner pour m’offrir son réservoir à sperme. Je l’enquille sans tarder, deux trois mouvements, et j’explose au fonds de son cul. gpugnntz C’est au tour de Christian de profiter d’elle, puis à nouveau son grand-père, et deux heures plus tard me revoilà dans son lit, pour la troisième et dernière fois. Elle est inerte, les yeux fermés, et je m’inquiète. Je me colle à elle et la caresse gentiment: — Ca va ma puce? — Oui, je n’aurais pas cru autant m’en voir, mais ça va. — On peut arrêter si tu veux. — Non, papy m’a eue trois fois, ton beauf attend son tour, il n’y a pas de raison que tu en profites moins. — Ce n’est pas grave, on se rattrapera la prochaine fois. — Non tu peux, à moins que je ne te plaise pas assez pour te refaire bander. — Tu me cherches petite salope, tu vas me trouver. Je vais te baiser, et si je m’écoutais je t’enculerais pour t’apprendre. — Que des promesses! — Tu veux vraiment que je t’encule? Ils se sont occupé de ta chatte ton papy et mon beauf? — Tu rêves! Ils ne pensent qu’à mon cul ces fumiers, aussi salaud l’un que l’autre, et ils me l’ont pistonné comme des bêtes. Heureusement que tu étais là pour ma minette, mais pour la dernière je veux bien t’offrir mon fion, je sais que tu l’aimes et tu l’as bien mérité. Et puis merde, on ne va pas discuter cent sept ans; elle veut que je la sodomise, pour mon plaisir ou le sien, va savoir, et je vais la satisfaire. Je ...