Justine
Datte: 23/08/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
pénétratio,
init,
amourcach,
... est là. Justine est à l’heure. Justine est là, oui. Les bras le long du corps. Les jambes serrées. Derrière le dernier drap, juste devant la lucarne. Et la lumière de la lucarne fait d’elle un ange. Et cette lumière l’habille, ou bien la déshabille, je ne sais pas, je ne sais plus… Et moi je la regarde, je la contemple, oui c’est un ange… C’est plus qu’un ange, une déesse que j’adore. Et ses bras le long du corps, juste ses mains qui frôlent sa jupe. Sa jupe, oui c’est vrai que c’est la première chose que j’ai vue, puis son chemisier blanc. Alors je m’approche. Jamais je ne m’étais encore approché d’une fille pour faire ça. Je mets sur ses oreilles, par-dessus la cagoule, des écouteurs, et je pose l’appareil par terre. C’est la musique qu’elle aime, elle est en boucle. Pour bâtir notre rêve ou pour empêcher qu’elle entende mon appareil photo se déclencher ? Oui je veux la prendre en photos. D’ailleurs je les ai toujours ces photos… Bien sûr j’ai fait des photos sous sa jupe, pas les plus réussies d’ailleurs… Mais elles ont pour moi le goût du fruit défendu, des choses qu’on nous interdit… Des photos volées… de ce corps offert. Je reproduis d’abord les gestes de Sébastien, pour la rassurer, pour qu’elle me laisse faire… Je mords ses oreilles, comme lui, je masse ses épaules. Je parcours son dos. Je passe ma main dans son cou, sous la cagoule, dans ses cheveux. Tout comme son Sébastien, pas plus que lui pour l’instant. Elle a un soutien-gorge, alors sans doute aussi une ...
... culotte. À cette époque les filles de son âge ne mettaient pas de string. Oui, je sens les bords de sa culotte sous le tissu de sa jupe, sur ses fesses… Là je suis derrière elle, comme si j’avais peur de rencontrer son regard. Alors je pose ma tête à la hauteur de son cœur, pour entendre s’il bat aussi fort que le mien. Bien sûr ça me rassure, qu’elle tremble un peu, qu’elle commence à bouger… Elle accompagne mes mains des mouvements de son corps. Pour moi c’est sa manière de me dire que je peux continuer, puisque dans un rêve , on rêve et on se tait. Mais on ressent plus fort. Justine ne contourne aucune de nos règles et elle se donne. Ses soupirs m’en disent plus que des mots, elle parle à Sébastien et moi avec mes mains je lui réponds. Je ne veux ni la décevoir ni la choquer… Moi aussi je respire plus fort, une respiration est anonyme heureusement… Justine, jusqu’où veux-tu aller ? Quel voyage est ton rêve ?Quelle destination as-tu choisie ? Indique-moi le port…Je me mets à genoux. Oui, Justine, les garçons sont comme ça. Justine, là je ne veux vraiment pas que tu me voies… Justine, peut-être que Sébastien a pu, mais moi là, je ne peux plus.Mais mes mains ne touchent que tes jambes et le plus sagement possible. Mais tu me réponds en écartant les jambes… Ou bien vraiment je rêve et c’est moi qui invente… Pour une fois mon regard n’est plus où sont mes mains. Mon regard s’est perdu, Justine, c’est de ta faute…Oui c’est de ta faute, comme pour ce rêve, comme pour ce cahier que tu as ...