Le zob de Omar
Datte: 23/08/2019,
Catégories:
Anal
Gay
... visage et le cou. Il commença à descendre vers ma poitrine puis mon ventre. Ses mains firent glisser mon slip de bain et ma bite claqua contre mon ventre. Elle ne demandait que ça depuis vingt minutes. J’étais abandonné, je me donnais.— Omar, je...— Ne dis rien ! Je t’en prie... Laisse-toi aller !J’avais un peu peur qu’il ne regrette déjà et que bientôt, moi aussi, je ne trouve cette expérience ridicule et choquante. Qu’importe! L’instant présent était sublime! Nous roulions l’un sur l’autre, quittant ma natte pour atterrir dans le sable. Mes poils blonds et ses poils noirs s’épousaient, se mélangeaient...Il me recouvrait totalement de son corps lourd, puissant. Ses yeux rivaient les miens. Ils étaient remplis de fièvre, de chaleur. Sa queue gonflée de désir était sur la mienne, plaquée vers le haut. Mes mains saisirent ses fesses dures. C’était plus qu’agréable. Sa queue glissait contre mon ventre et je la sentais grossir. Moi qui, dix minutes plus tôt, charriais encore les pédés... j’étais là, entre les mains d’un beau mâle, à m'abandonner à ses désirs. Omar m’embrassa encore. Il était un étalon qui voulait me prendre et, moi... j’en avais envie. Comme pour me rendre ma caresse, Omar saisit ma queue et la suça de haut en bas en caressant mes couilles. Ma bouche s’ouvrait et se fermait comme pour happer le plaisir autour de nous. Tous mes trous étaient excités. J’aurais voulu que ça continue des heures et j’avais vraiment peur de jouir tout de suite.— Pas... pas trop vite! ...
... Ai-je murmuré.Il abandonna ma tige frémissante et m’embrassa sur tout le corps, me donnant des petits coups de langue dans tous les coins. Il me retourna doucement sur le ventre, me faisant frissonner.— «Il» me rend dingue! Me dit-il.Je n’osais imaginer qui était ce «il». Il n’y avait cependant aucun doute là-dessus... c’était de mon cul qu’il parlait! Il écarta mes fesses dures avec beaucoup de tendresse et y respira un bon coup. Son souffle tiède me combla de bonheur. Il posa sa bouche sur mon anneau serré et l’embrassa. HUMMMMM !!! Un beau mâle sauvage me soufflait sur la pastille qui se détendait.— Tu vas aimer ! dit-il.Il posa d’abord un doigt insistant sur le trou, puis la main entière glissa dans la raie. Il recommença à titiller avec un doigt et tenta de pénétrer dans ma rosette. Je n’ai pas compris tout de suite ce qui se passait derrière moi. J’étais prêt à accueillir ce doigt inquisiteur et à m’offrir à de nouvelles sensations; C’est autre chose qui se présenta. Un bruit, un autre, un troisième! Perdu dans mes rêves lubriques, je ne savais pas... Il posa sa bite lubrifiée et recouverte d’une capote là où le doigt avait essayé d’entrer. Je me suis cambré, effrayé.— Non ! Non, Omar !— Je t’en prie. J’en ai trop envie !!!— Ton zob trop gros !— Tu ne diras pas ça lorsqu’il sera en toi et qu’il glissera entre tes fesses. Mon chéri, tu vas adorer.Ses mains me caressaient et son souffle parcourait ma nuque.— Je n’ai jamais...— Je sais! Tu ne trouves pas qu’il vaut mieux ...