Le zob de Omar
Datte: 23/08/2019,
Catégories:
Anal
Gay
... parfois en berbère mais je ne comprenais rien. J’étais persuadé qu’il me disait des choses superbes et tendres. Ma main chercha sa queue entre mes cuisses. Je sentais la base, large, s’enfoncer dans mes fesses. C’était bizarre. Je lui ai touché les couilles pendant qu’il me limait le cul.— Je veux voir ta petite gueule quand je te baise. Je veux tes lèvres, ton regard... Tourne-toi !Il est sorti de mon trou et m’a pris dans ses bras musclés pour me retourner. Couché sur le dos, il s’est installé face à moi. J’avais les cuisses écartées, le cul chaud et offert. Je l’ai attiré vers moi pour qu’il m’embrasse très fort. Il a soulevé délicatement mon bassin et a roulé une serviette pour la glisser sous mes reins. Il m’a souri en posant mes jambes sur ses épaules. J’ai vu sa bite énorme qui m’avait d’abord effrayé mais qui, depuis, m’avait donné du plaisir... Il l’a positionnée devant ma fente moite et l’a enfoncée jusqu’aux couilles. J’ai posé mes mains sur son poitrail velu pour jouer avec les pointes de ses tétons bruns.— Oh oui, c’est bon, mon amour ! A-t-il dit.— Tu aimes ?— Je veux continuer ça jusqu’à demain.— Chiche!— Chiche !— T’en es bien capable !— Que tu es beau, mon ange !— Prends-moi, Omar... Fais-moi du bien !— Je ne veux que ça! Jouir et te faire jouir ! À côté de ça, mon amour, ...
... les nanas c’est du pipeau... Un cul comme le tien, c’est à crever!— Tu me le feras encore ?— Oui.— Ce soir ?— Ce soir ! Cette nuit ! Demain... À l’hôtel ! Ici ! Sur un bateau...Omar était un dieu de l’amour. Je dis bien de l’amour. Je comprends aujourd’hui que s’il était d’abord un excellent baiseur, il était doublé d’un esthète de l’amour. Il me fit donc l’amour jusqu’à l’explosion.— Amour, je vais jouir ! Hurla-t-il.— Viens... Viens sur mon ventre !!!Quand il cracha sa sauce, il cria très fort comme une bête qui déchargeait. Il se leva et essuya rapidement les éclaboussures sur mon corps. Il s’installa à quatre pattes et me présenta son cul poilu:— Maintenant, je te veux en moi ! C’est à toi de me baiser...— De te faire l’amour !— Oui, si tu préfères ! Prends-moi !Ce don de sa virginité, m’émouvait profondément. Derrière lui, je vis une forêt noire ouverte et prête à accueillir ma bite. Le soleil chauffait sa croupe dorée et ronde comme une brioche. J’avais envie de pilonner ce beau cul de macho. J’hésitais. Encore une nouvelle expérience mais il me guida. J’étais raide comme jamais.— Tu vas aimer ! Me dit-il.— Mais... mon zob est trop gros, Omar !— Arrête de te vanter, chéri et plante-moi ton petit zizi dans le cul... Je n’en peux plus ! Je te veux !On a éclaté de rire tous les deux.FIN