1. Un sacré numéro, notre nièce (3)


    Datte: 03/09/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... manière avec laquelle elle vient nous dire bonjour : — « Salut Mélanie, fit-elle gaiement ! Et merci encore pour tout à l’heure, ta langue a fait des merveilles. J’ai adoré. » Et pour bien marquer sa reconnaissance, elle pose délicatement ses lèvres sur celles de Mélanie et, tout en lui caressant les cheveux, prolonge ce baiser et finit par lui offrir sa langue pour quelques joutes aussi incestueuses qu’agréables. — « Et toi mon tonton préféré (c’est pas dur, je suis le seul oncle de Mélanie…), tu m’as fait découvrir un goût que je ne connaissais pas. Et c’est pas bien, finit-elle par ajouter ». Je manque de m’étrangler en écoutant sa dermière remarque. Voilà qu’elle regrette. Je n’ai toutefois pas le temps de cogiter plus longtemps avant qu’elle n’ajoute : — « Mais je ne sais pas comment je pourrai désormais m’en passer ! », et la voilà également accrochée à mes lèvres, avec sa langue qui cherche la mienne et ne met pas longtemps avant de la trouver et de jouer – fort bien d’ailleurs- avec dans un ballet d’arabesques. Reprenant mes esprits, je lui annonce que nous devons parler de ce qui s’est passé. Mais Nathalie coupe court en nous annonçant qu’elle veut d’abord manger, elle a une faim de loup. Et ni une ni deux, la voilà qui se dirige dans la cuisine et se prépare un petit-déj que Gargantua lui-même ne renierait pas. — « Comment fait-elle pour garder cette ligne magnifique, avec tout ce qu’elle engloutit », commenta Mélanie, peut-être avec une pointe de jalousie toute ...
    ... féminine alors que, objectivement, Mélanie n’a rien a envié à Nathalie sur ce plan. — « Je crois qu’elle se dépense en conséquence » lui répondis-je non sans une pointe d’ironie. Et c’est vrai que si elle m’est autant d’entrain dans ses ébats sexuels, elle doit en perdre des calories car il est bien avéré que faire l’amour nécessite une énergie non négligeable. Sur ce et ne souhaitant pas déranger le repas du monstre… nous profitons, Mélanie et moi, de nous accorder un moment de détente au bord de la piscine. En épouse prévenante, elle prend deux grandes serviettes qu’elle étend à même la pelouse, prétextant que c’est plus confortable que de s’allonger dans un transat… Et ce n’est pas tout faux. Elle fit ensuite tomber son peignoir et je découvre – car c’est bien à chaque fois une découverte tant je ne me lasse pas de ce corps encore juvénile – sa plastique qui m’avait tellement séduite lors de notre première rencontre. Et renforcée par son teint mat d’Eurasienne, c’est du plus bel effet. C’est donc juste habillée (le terme est un peu fort je vous l’accorde) de son bas de maillot de bain que Mélanie s’allonge, face contre terre, sur sa serviette. J’en fais de même, à la différence que, sous mon peignoir, je suis encore en boxer. Voyant cela, Mélanie, me demande carrément de l’enlever ou d’aller mettre un maillot de bain. Elle a, parfois, des principes bien arrêtés et l’adéquation entre la tenue vestimentaire et la situation vécue en fait partie. Je m’exécute et enlève prestement ...
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