Pour en finir une bonne fois pour toutes avec le sexe (T.2)
Datte: 24/08/2019,
Catégories:
délire,
humour,
articles,
... Hahaha ! Marcel Van Paard : Ah ouais ! Elle est bonne tiens ! Hahaha ! Annick Botte : Ils sont d’un vulgaire ! Solange P. : Non, mais… écoutez-moi cette gourgandine ! Annick Botte : Gourgandine ? Vous parlez à Miss Trifouilly-les-Oies 2007, mademoiselle ! Solange P. : Tu parles d’une carte de visite ! Miss d’un patelin de dégénérés ! Annick Botte : Vous en arpentez les trottoirs, espèce de passe à deux sacs ! Solange P. : (qui file un aller-retour à Annick Botte) Voilà toujours une passe à deux claques, pour vous apprendre ! Annick Botte : Aïe ! Monseigneur Doudissandmore : Mesdemoiselles ! Marcel Van Paard et Jean Wisser : (hilares) Je vous en prie ! RVB : Madame, Mesdemoiselles, du calme, s’il vous plaît. Maggy Tarembois : C’est une honte ! Un scandale ! Solange P. : Oh, ça va ! Maggy Tarembois : Vous, retournez derrière votre vitrine ! Solange P. : Dites donc, la scientifique, vous en voulez aussi, de la salade de phalanges ? RVB : Du calme ! Du calme ! Écoutez-moi… Maggy Tarembois : ...
... Essayez voir ! Annick Botte : Oui, essayez voir, espèce de brute ! RVB : C’est pas un peu fini ? Solange P. : Oh, toi, la miss, on t’a pas sonné. Va t’acheter un gode. Monseigneur Doudissandmore : Mon Dieu ! Mon Dieu ! Satan l’habite ! Marcel Van Paard et Jean Wisser : Ouaaah hahaha ! Ouh ! Hahaha ! RVB : Je peux en placer une, oui ou non ? Annick Botte : Retenez-moi, ou je lui crève les yeux ! Solange P. : Tu veux m’attaquer avec tes petits ongles ? Maggy Tarembois : Mais arrêtez, bon sang ! Marcel Van Paard et Jean Wisser : Hahaha ! Hihihihi ! Ouuuuh ! Hahaha ! RVB : VOS GUEULES, NOM DE DIEU ! Solange P. : … Annick Botte : … Maggy Tarembois : … Marcel Van Paard : … Jean Wisser : … Monseigneur Doudissandmore : … RVB : Merci… Ainsi se clôturait notre débat à propos de la masturbation. À la lumière des événements qui précèdent, si nous ne déconseillons pas formellement la pratique de la masturbation, nous nous permettons néanmoins de vous adresser cette mise en garde : n’en parlez pas. Surtout pas.