1. Mon combi-short


    Datte: 04/09/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    Je me suis réveillé un beau matin d’été avec une envie impérieuse de voir mon amie uniquement vêtue d’une très courte robe de cotonnade qui dévoile son corps nu au moindre mouvement. Je vois ses bras se lever et son sexe imberbe apparaitre. Je la vois tourner sur elle-même pour me montrer son cul magnifique et ses fesses galbées. J’imagine la bretelle trop lâche de la robe tomber et dévoiler un sein lourd et ferme. Je réclame ce plaisir… ! Je veux ce surplus d’érotisme qui accompagne cette intimité à peine cachée. La réponse ne s’est pas faite attendre. Aucun souci si je change mon habillement et m’affuble d’une combinaison aux jambes et manches ultra courtes laissant deviner mes épaules et le bas de mes fesses. Elle devra être dotée d’une unique fermeture éclair dorsale qui se termine au milieu de mon postérieur. J’imagine bien les idées tordues qu’un tel vêtement peut donner à la gente féminine. Elle consacre ma totale dépendance à autrui pour me déshabiller notamment pour aller faire mes besoins. De la même façon, je ne puis envisager de me rhabiller seul. Ce vêtement me condamne, faute d’aide, à laisser mon dos nu jusqu’au niveau des fesses. Je me délecte d’imaginer combien un tel outil va me contraindre, plus que jamais, à mon vice favori : l’exhibition. Si l’achat petite robe n’a pas posé de problème, il en a été tout autrement du combi-short pour homme. Après de nombreuses recherches, j’ai fini par en découvrir un sur Internet. Une habile couturière fut ...
    ... réquisitionnée pour raccourcir manches et jambes à une longueur plus évocatrice. Mon amie, pour compléter l’ouvrage, s’est appliquée à faire disparaître toute pilosité de la zone couverte par le combi. Sexe, fesses, aisselles, poitrine, dos ont été soigneusement rasés. Et me voici apte à enfiler l’objet à même la peau. Je me sens quasi nu dans cet accoutrement et c’est un plaisir subtil. J’imagine que ce que doit ressentir la propriétaire de la minirobe doit être fort proche de ces perceptions. Sandales enfilées et délicieusement nus sous nos frêles étoffes, nous voici tous deux partis nous promener dans la forêt toute proche. Je ne peux m’empêcher de trousser ma compagne qui se venge en jouant avec la fermeture éclair chargée de protéger l’essentiel de mon anatomie. D’exhib en exhib, nous voici rendus au bord d’un petit lac bordé d’une plage de sable fin entourée de taillis et d’une futaie de résineux. Quelques personnes sont allongées nues au bord de l’eau. De légers bruissements montent des bosquets environnants. Mon amie s’y engage dans le but d’accomplir un besoin naturel tandis que je contemple les corps dénudés qui m’environnent. Comme d’habitude, je les trouve tous beaux ainsi exhibés. La majorité ne cache rien de son anatomie, bras et jambes écartés, tantôt sur le ventre, tantôt sur le dos. Les seins sont petits ou imposants, en forme de poire ou de pomme, parfois à peine marqués. Leurs auréoles varient en couleur et en dimension. Les sexes de femmes de tailles variées alternent ...
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