Mon combi-short
Datte: 04/09/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... entre la discrète fente, l’abricot bien renflé ou les longues lèvres ondulées en forme de feuilles de salade. Le pénis des hommes est souvent court et trapu, mais parfois long, fin ou monumental. Souvent les fesses largement écartées laissent voir des rosettes plus ou moins larges, de couleurs variées, aux sphincters dilatés ou sages. Le temps passe et mon amie ne revient pas. Je m’engage donc dans le sous-bois. Après quelques minutes, je perçois à l’approche d’un épais bosquet un doux feulement et des bruits de feuilles froissées. Je me dirige vers lui prudemment et, à l’abri d’un arbuste, je découvre mon amie en galante compagnie. Elle est debout, sa robe troussée au niveau du cou, jambes largement écartées pour permettre à plusieurs mains d’homme de s’introduire dans ses deux cavités. Ses seins sont malaxés assez violemment par d’autres. Je décide d’intervenir quand sa robe lui est arrachée et vole par-dessus les buissons. Mais un petit cri de plaisir et un sourire béat m’en dissuadent. La majorité des hommes présents se branlent vigoureusement en regardant ou en participant. Ils sont peut-être une dizaine. Sans quitter son entrejambe de leurs mains, ils la forcent à se pencher en avant et leurs phallus commencent à se succéder dans sa bouche, pendant que d’autres s’offrent son sexe. Au bout d’un moment quelques protagonistes commencent à cracher leur foutre sur son dos et ses jambes. Je la vois alors avec étonnement se saisir d’un vît long et fin pour le présenter ...
... devant ses fesses. Son propriétaire ne se fait pas prier pour l’enculer avec force et lâcher sa semence dans les abysses de son fondement. Deux ou trois autres se succèdent en elle. A chaque fois, elle laisse un râle guttural qui, crescendo, se transforme un cri primal de bonheur. Elle jouit la garce !... Alors que tous ses amants semblent occupés à recharger leurs accus et la laissent enfin tranquille, je me décide à pénétrer dans l’étroite clairière, théâtres des opérations, dans le but de la soustraire à un nouvel assaut. Bien mal m’en prend ! Je ne fais que réveiller le troupeau en rut. Un protagoniste s’exclame en me regardant : « Il faut être une autre petite salope pour porter un vêtement aussi indécent et provocateur. On se le fait, les gars ! » Puis je sens ma fermeture dorsale me descendre jusqu’aux fesses et mon combi tomber en corole à mes pieds. Je suis totalement nu, peureux et offert. Une clameur salue l’exhibition : « Et totalement rasé en plus ! Quelle chienne ! ». Mon amie, assise par terre affiche un sourire pervers et murmure : « C’est ton tour !... ». Rapidement je me retrouve à genoux, je devrais plutôt dire à quatre pattes. Je sens un doigt me caresser la raie des fesses puis exciter ma rosette avant de pénétrer doucement mon cul. Mes cuisses s’ouvrent et écartent mes fesses comme par automatisme. Un sexe approche ma bouche. Je pose mes mains sur les hanches de son propriétaire et l’avale goulument. Il va et vient dans la bouche et ma gorge. On me pince les ...