Marie et le sculpteur aveugle (2)
Datte: 26/08/2019,
Catégories:
Erotique,
... avec sa lame. Quand je vois l’épicier reculer et se contenter de regarder, je comprends alors que je suis perdue. Mais j’arrive quand même à m’échapper momentanément des deux autres. Malheureusement, mon pantalon m’entrave et je tombe à terre à quatre pattes avec les fesses à moitié découvertes. A la vue de la raie de mes fesses et de l’amorce de mes deux globes laiteux qui se révèlent à leurs yeux lubriques, les racailles sont bouche bée. « Les mecs, elle a même pas culotte la salope !! » Totalement surexcités, ils agrippent mon froc alors que j’essaye de m’échapper en rampant et en me tenant aux rayonnages. Ils sont acharnés. Le froc glisse encore plus…et mes fesses se dénudent complètement ! C’est fini ! Peut-être pas ! A cet instant précis, un client entre dans l’épicerie. C’est un homme d’âge mur. Immédiatement, l’une des racailles lui intime de faire demi-tour. Cependant, nullement effrayé, très calme, l’homme ne bronche pas, juge la situation d’un rapide coup d’œil et d’un geste vif désarme le type au couteau. Il fait une clé de bras à la fripouille et l’éjecte violemment du magasin. Le jeune voyou tombe sur le trottoir. Du coup, les deux autres, incrédules et lâches, prennent peur et s’enfuient sans demander leur reste. Je me relève doucement, choquée et rattache mes bretelles comme je peux puis ramasse les bouts de T-shirt pour couvrir maladroitement ma poitrine en me dirigeant vers l’homme qui vient de me sauver d’un viol inévitable. « Je... je ne sais comment vous ...
... remercier... » « De rien, ce ne sont que de petites frappes, lâches et sans cervelle ; mais vous ne pouvez pas sortir dans la rue comme ça ; où habitez-vous ? Je vais vous raccompagner » L’homme à la cinquantaine, les cheveux longs argentés tenus par un catogan, une belle chemise comme celle du sculpteur. En le regardant de plus près, il lui ressemble. Même style et un physique similaire, mais légèrement bedonnant et un peu plus vieux. Il est rassurant. Je lui donne mon adresse et là, surprise... « Tiens ? Tu habites juste en face de mon frère » « Ah bon ? » « Oui, il est sculpteur mais très casanier. Tu ne risques pas de le rencontrer en dehors de chez lui, il est aveugle » « Ça alors, mais si je le connais. Je pose pour lui ; je lui sers de modèle » « Vraiment ? De modèle ? Mais...sais-tu que je suis peintre ? Si tu as du temps de libre... Et…d’après ce que j’ai vu, tu as toutes les qualités... » Je rougis. « Viens, je vais te déposer » me dit-il en souriant. Sur le chemin, je le questionne. « Mais vous le voyez souvent ? » « Non, à vrai dire on est tellement occupé chacun de notre côté. Mais je passerais lui rendre une petite visite, c’est promis sauf que là je n’ai pas trop le temps » « Et autrement, vous peignez quoi exactement ? Et vous payez combien si je peux me permettre ? » « Eh bien, essentiellement des nus et je paye environ 20 Frs de l’heure ; mais est-ce que tu accepterais de poser dans le plus simple appareil ? » « Ben... je le fais déjà avec votre frère mais ...