Intrusion
Datte: 26/08/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
intermast,
fantastiqu,
... dites-moi !— Solange, je vous ai vue… Et je raconte à Solange ce que j’ai vu : un premier flash où elle était derrière la porte, puis une suite d’images hachées où elle défaisait sa jupe. Au fur et à mesure que celle-ci glissait le long de ses jambes, l’image devenait de moins en moins saccadée. Elle avait ensuite ôté ses chaussures à talons, prenant soin de ne pas marcher sur la jupe. Et puis j’eus l’impression d’être dans cette pièce quand elle décida d’enlever son collant : le tissu roulait sur ses hanches, la blancheur de sa peau contrastait avec le noir de son string. Mes yeux suivirent le collant jusqu’à ce que la dernière pointe du pied ne soit visible. Quand ses mains attrapèrent son string sur ses hanches, elle le fit glisser jusqu’à mi-cuisses et d’un mouvement de jambes, celui-ci tomba au sol. Debout, elle me donnait la vision de son sexe à la toison fournie, naturelle. C’est à ce moment-là que je perdis connaissance. — Vous voyez, c’est bien mon imagination ! Vous êtes encore habillée et de ce que je vois, vous avez un collant ! lançai-je à Solange.— Étienne, taisez-vous ! Solange, le visage rubicond, relève doucement sa jupe. — Je crois bien que vous êtes capable de quelque chose d’incroyable. Je dois être honnête avec vous. Ce que vous avez vu n’est pas le fruit de votre imagination. J’ai volontairement fait cela car je savais que cela attirerait votre attention plus qu’un simple coup de peigne dans mes cheveux. Solange, tout en me parlant, me tourne le dos et ...
... dévoile ses fesses nues sous le voile de son collant pour corroborer ses dires. — Et je pense que j’avais raison…— C’est impensable… Avez-vous déjà rencontré un cas comme le mien ? Lui dis-je.— Non, mais j’ai la chair de poule rien qu’à penser à cela : je vous sais capable de m’épier désormais.— C’est vous qui m’avez poussé à vous « deviner »…— Je sais. Je pense que cette séance vous a suffisamment éreinté pour que nous en restions là. Nous reprendrons demain.— Oui, mais avant, promettez-moi de garder cela secret. Je ne voudrais pas être interné comme un rat de laboratoire…— Vous avez ma parole ; et puis, qui me croirait ? Bonne journée, Étienne. Sur le chemin du retour, les idées se bousculent dans ma tête : comment est-ce possible ? Suis-je fou ? Mais tout ceci s’efface bientôt de mon esprit pour laisser place à mon imagination et à toutes les indiscrétions qui me sont offertes. Plus qu’une idée en tête, vite rejoindre l’appart et mettre en pratique ce qui me semble irréel. Dans mon canapé, je m’allonge confortablement. Par où commencer ? Un brin de concentration… Solange est toujours dans son bureau, sûrement avec un autre patient. Ma femme est à son bureau sans que cela ne m’intéresse plus. Je reste cependant focalisé sur elle et j’arrive à la suivre lorsqu’elle se déplace chercher une feuille à l’imprimante. À peine quelques minutes et je fais une pause car je sens la lourdeur de mes paupières. À midi, je reprends mon manège, observant l’une puis l’autre. Quand Solange ...