Les désirs d'Amory
Datte: 27/08/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
... prenions une douche chacun son tour tandis que l’autre jouait à la console jusqu’à l’heure de l’entraiment. De retour de celui-ci, j’allais directement sous la douche, et sorti, juste vêtu d’une serviette autour de la taille et je profitais qu’il ne regardais pas pour enfiler un boxer. Et ce fut à son tour d’aller se doucher, pour sortir vêtu également d’un simple boxer. Bien que n’ayant jamais eu d’attirance pour les garçons, il m’arrivait souvent de regarder son corps, non par pulsion ou désir, mais plutôt par jalousie. Il était un peu plus petit que moi, mais plus fin, des muscles secs que le sport s’était chargés de tracés les contours au fil des années. Je le trouvais plus beau que moi, surtout avec ses piercing, il en avait 2, un au labret, juste sous la lèvre qu’il s’était fait à 17 ans, et l’autre sur le bout de la langue qui datait de cet été. Il s’approcha du lit pour venir s’allonger. Notre longue amitié et notre complicité nous permettait de dormir ensemble sans aucune gêne depuis longtemps. Epuisé après cette journée, nous allions directement nous coucher et je lui dit de choisir un film. Pendant qu’il alluma la télé et choisis un film, je m’allongeais, à demi assis appuyer sur les oreillers. Son choix s’était porter sur « 22 jump street ». Il ne fallu pas plus de 10 minutes pour que le sommeil me pèse, et je me tournais donc sur le ventre, les mains sous les oreillers, la tête tourner à mon ami qui ne semblait pas fatigué malgré notre journée, le poids de la ...
... fatigue limitant de plus en plus mes réponses à de simples « hein hein » et « ouai ». Je bougea une dernière fois pour placer mon bras gauche le long de mon corps. Amory compris que je m’endormais et ne me parlais plus. Quelques minutes plus tard, je l’entendais me demander dans un murmure si je dormais, je n’eu le courage de répondre et continua à m’endormir. Tout à coup, une sensation me tira de ma somnolence, une sensation délicate qui me plaisait et me détendait à la fois. C’était Amory qui me caressait l’arrière du bras du bout des doigts. Je ressenti l’étrange envie de profiter de la situation et de ne pas réagir afin de le laisser poursuivre. Le passage de ses doigts le long de mon bras me donnait des frissons d’excitation, qui provoqua une inspiration plus longue. Mon ami compris que je ne dormais pas, et me posa tout de même la question en murmurant. Gêner d’apprécier ce qu’il me faisait, je ne pu que murmurer un « non » à peine audible. Je sentis qu’il se tournai sur le côté, et il commença à déplacer ses caresses de mon bras à mon dos, tout le long de ma colonne vertébrale, ce qui me lança une décharge dans tout le corps, me provoquant un frisson qui me fit, à ma propre stupéfaction, soupir d’un plaisir jamais exploré jusque là. J’étais alors complètement détendu; Les doigts de mon ami se mirent à explorer le bas de mon dos pour faire le tour de mes reins. Sans m’en rendre compte, je me commençais à me cambrer légèrement, relevant mon bassin tout en prenant une ...