1. Les désirs d'Amory


    Datte: 27/08/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... j’allais alors poser ma main à son coup, et nous nous embrassions de plus bel, avec encore plus de vigueur. Je pris son sexe de la main gauche pour le caresser lentement. J’effleurais son frein avec l’index, et utilisait ensuite uniquement le pouce pour parcourir son gland chaud et humide. Je repris sa queue en main pour le masturber. Sa respiration s’accélérait tout en devenant plus courte. Toujours enlacer par mon bras, il posa sa main sur la mienne droit sur la mienne et la serra en glissant ses doigts entre les miens, tandis que sa main gauche allait se poser à l’arrière de ma nuque. Je compris qu’il allait jouir, et j’accélérais alors le rythme en tendant sa queue à l’horizontal. Les spasmes l’envahir, il me serrait la main et ses ongles me griffais la nuque. Chacun des jets étaient accompagnés d’un râle de plaisir. J’avais du sperme plein les doigts, chaud et visqueux, je l’étalais sur sa queue toujours en érection en la caressant, passant sur son gland. Il gémit dans une inspiration longue de satisfaction, et me chuchota à l’oreille un « Max » et se mordit les lèvres. Ma tête poser par dessus son épaule, Amory ...
    ... m’embrassa et me vis sourire. Il me saisit le poignet, et porta mes doigts à sa bouche, et les nettoyait tout en gémissant. Toujours en lui, il se mirent à rouler du bassin, dans un mouvement lent et délicat, il me chuchota à l’oreille « Je veux te sentir jouir en moi ». Toujours contre moi, je l’enlaçais et reprirent mes coups de reins, et se fut très vite à mon tour de jouir, le serrant plus fort pendant que je sentais mon sperme le remplir jet après jet. Je m’effondrais ensuite sur lui, de tout mon poids, épuisé comme jamais je ne l’avais été. Nous sommes rester près d’une minutes à reprendre notre respiration. Je l’embrassais dans le coup avant de sortir ma queue emplie du mélange de lubrifiant et de sperme. Je m’allongeais finalement, lui toujours sur le ventre, me regardais sourire au lèvre. Il se tourna et vint contre moi pour m’embrasser une dernière fois avant de me souhaiter « bonne nuit ». Je restais allongé, en silence, dans un plaisir coupable, troublé par la vague d’émotion qui me submergeait. Nous nous endormirent ainsi, sa tête sur mon bras qui se posait dans son dos, nos doigts entrelacer poser sur mon torse. 
«12...4567»