Soumission - Histoires de Sexe

Soumission

... martinet. Il abattit le fouet sur la poitrine de la jeune femme, qui, de surprise et de douleur, hurla. — La punition est doublée, annonça calmement le maître.— Pardon, Maître, dit Élodie en luttant pour garder la position.— Redresse-toi, dit-il et Élodie reprit une pose plus offerte. Gilles la frappa à nouveau. Élodie en eut les larmes aux yeux. Il y allait pourtant doucement mais les lanières s’écrasant sur ses mamelons lui envoyaient une douleur intense et violente. — On recommence, puisque tu n’as pas daigné compter, soupira Gilles. Élodie remercie silencieusement son maître de n’avoir pas augmenté la punition après cette seconde erreur de sa part. Lorsque les lanières déchirèrent à nouveau la peau fragile de sa poitrine, Élodie prit soin de bien articuler « Un ». Elle supporta la punition sans broncher ni hurler, en n’oubliant pas de compter ni de remercier son maître lorsque ce fut terminé. Elle voulut calmer la douleur en se massant les seins mais à peine avait-elle approché les mains de sa poitrine que Gilles gronda : — Tu ne comptes pas te toucher sans mon autorisation, j’espère ? Élodie baissa les yeux et éloigna ses mains, qu’elle plaça, par précaution, dans son dos. Ainsi, elle serait moins tentée. La douleur irradiait toujours. Gilles s’installa dans le canapé et lui fit signe de s’agenouiller devant lui. — J’avais prévu de t’offrir une séance juste pour toi ce matin, mais ta désobéissance récurrente me déçoit beaucoup. Donne-moi ce que je souhaite. Il retira ...

... son pantalon et son caleçon et Élodie, honteuse, lui fit une excellente fellation. Lorsqu’il eut joui, elle le nettoya parfaitement puis s’éloigna. Après plus de quinze secondes d’attente silencieuse, Élodie souffla : — Merci, Maître.— La prochaine fois que tu tardes tant, tu seras punie.— Oui, Maître, dit Élodie. Elle avait décidément du mal à remercier lorsqu’elle ne recevait pas directement le plaisir. Elle fit son possible pour intégrer cet élément dans les jeux futurs mais sentit que ça n’allait pas être évident. Finalement, ce simple merci était une réelle difficulté pour elle. — Maintenant, tu restes à genoux devant moi et tu réfléchis à tes désobéissances. Et tu le fais en silence. Élodie baissa les yeux tandis que Gilles prenait un livre et se mettait à le parcourir. Élodie, à genoux, le dos bien droit, les mains dans le dos et les yeux baissés, attendit en silence la fin de la punition. Trente minutes plus tard, Gilles reposa son livre et partit sans un mot dans la chambre. Élodie ne bougea pas, n’en ayant pas reçu l’ordre. Gilles revint avec une boîte qu’il ouvrit dans le dos de sa soumise. Élodie ne tourna pas la tête, ne voulant pas être indiscrète. Il lui accrocha un collier de cuir. Elle se mit à trembler. Elle sentit un anneau tomber sur le haut de son cou. Il y suspendit une chaîne qu’il fixa à sa ceinture. — Tu te lèves pour me suivre mais tu te remets à genoux à chaque arrêt.— Oui, Maître. Gilles se rendit dans la chambre. Élodie suivit docilement et se remit ...