1. Soumission


    Datte: 28/08/2019, Catégories: jouet, fépilée, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, Oral fdanus, jeu, sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, fsoumisah,

    ... un certain empressement de la part de son compagnon. Elle accepta volontiers et passa les bijoux à ses poignets. — Déshabille-toi, ordonna-t-il. Elle le fit, sans oublier de penser à lui et il lui fit alors signe de s’approcher. Il posa directement sa main sur l’intimité de sa soumise, la surprenant par ce geste direct peu courant chez son maître. Un sourire très fugace apparut sur son visage pour laisser place à une colère certaine. — Où sont tes boules de geisha ? Élodie en fut soufflée. — Je… j’avais pensé que… En fait, elle avait complètement oublié. — Tu dois en porter tous les jours ! gronda Gilles. Élodie baissa les yeux et se montra soumise. Gilles sembla apprécier. — Va réparer ton erreur puis reviens pour subir ta punition dont je déciderai.— Oui, Maître, répondit Élodie avant de s’enfuir dans la chambre. Elle trouva les boules de geisha dans l’armoire avec les autres jouets sexuels. Elle se rendit alors dans la salle de bain. La colère de son maître l’avait asséchée et elle fut incapable de les mettre. — Dépêche-toi, s’écria-t-il depuis le salon. Elle le maudit intérieurement. Ça ne pouvait pas se faire dans la seconde ! Elle lécha les boules mais cela ne permit tout de même pas leur insertion. Elle jura. À genoux sur le carrelage, tentant en vain de s’exciter, elle se trouvait ridicule. Elle tenta de se calmer mais la tension créée par la présence de son maître dans la pièce voisine lui interdisait toute pensée agréable. Soudain, un bras enserra sa gorge avec ...
    ... fermeté et presque brutalité, une main lui prit des mains ses boules de geisha, les posa sur le sol pour venir titiller son clitoris. Élodie décolla presque instantanément. Elle apprécia que son maître soit venu lui fournir de l’aide. Il la maintenait dans une position de totale soumission sans la faire souffrir et en l’excitant terriblement. Elle mouilla rapidement, se laissant aller sur le torse de son maître. Elle avait les yeux fermés si bien qu’elle ne vit pas venir les rondeurs dont la pénétration la fit sursauter et gémir. Il les fit entrer sans douceur mais Élodie, suffisamment excitée, n’en souffrit cependant pas. Puis, il la lâcha, se releva et lança : — Debout ! Elle obéit mais conserva le regard baissé. — Merci, Maître. Gilles, en passant devant l’armoire, y récupéra un martinet et puis se rendit au salon, où Élodie le suivit. Elle regardait le martinet avec appréhension, observant les lanières s’agiter à chaque pas de son maître. — Mets-toi dos à ce mur et pose une main en haut de chaque meuble. Élodie se plaça comme désigné entre deux commodes d’environ un mètre cinquante de haut. Les bras à l’horizontale, elle offrait son corps à la vue de son maître. Élodie fut surprise de devoir se placer ainsi. Elle s’attendait à devoir se mettre à quatre pattes ou de tourner le dos à son maître. Lui faire ainsi face l’intriguait et elle appréhendait d’autant plus la punition. — Dix coups, annonça Gilles en s’avançant, sa main gauche jouant avec les morceaux de daim de son ...
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