1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (5)


    Datte: 28/08/2019, Catégories: Lesbienne

    Salut c’est votre folle de lycra. J’étais en train de jouir vaginalement pendant que Geneviève m’embrassait sur la bouche pour me faire taire. Il n’y a pas à dire j’adorais les femmes, mais me faire pénétrer par un gode me procurait des sensations nouvelles et formidables. Elle savait être douce par ses caresses, et directive en m’imposant des positions. Je pense que ces baisers étaient les plus agréables que je n’ai jamais échangés. Elle est à nouveau sortie de moi pour me pénétrer de nouveau quelques instants après, j’adorais son contraste, un coup ce n’était qu’une baiseuse invétérée et le moment d’après elle était plus câline. Heureusement que j’étais attachée, car je pense que je l’aurais prise dans mes bras pour l’embrasser et surtout lui griffer le dos de plaisir. Ma jouissance ne s’estompait pas, je restais au septième ciel, il n’y a pas à dire Geneviève savait gérer l’intensité de mon plaisir. Elle a enfin cessé sa pénétration pour se mettre à me brouter le minou, tellement sollicité depuis une bonne demi-heure. Elle était à quatre pattes entre mes jambes et je pouvais lui caresser le corps avec mes jambes, qui étaient libres. Elle savait y faire avec merveille dans son cunnilingus, car même si mon entrejambe était trempé de cyprine, quand elle venait m’embrasser, je n’en sentais que très peu l’odeur. — J’espère que tu as pris beaucoup de plaisir ma chérie. — Tu as un corps qui est fait pour l’amour, qui appelle les caresses et la pénétration. — Je pense que je ...
    ... t’ai pris ta virginité et cela me fait grand plaisir, car tu ne m’oublieras jamais. C’est vrai que j’avais entendu dire que la personne qui prenait le pucelage, on ne l’oubliait jamais. — Vous savez Geneviève, avec tout ce que vous me faites vivre, je pense que je ne suis pas près de vous oublier. — C’est la première fois que je suis attachée à un lit et à ma grande surprise, j’adore. — Par contre je vais vous avouer que je suis un peu gênée, car j’ai poussé des cris de plaisir et je pense que Muriel va se douter de quelque chose. C’est vrai que Muriel nous a vus rentrer chacune dans nos chambres, mais entendre des cris de plaisir ne peut être que suspects aux oreilles d’une femme. — Ne t’inquiète pas ma chérie, Muriel sait que ce week-end toi et moi nous allons faire des folies. — A vrai dire, elle m’a demandé ce que nous venions faire ici. — Pour que tu comprennes tout, avant je roulais dans une Arnage. Au fond de moi je ne comprenais pas le rapport. — Qu’est-ce que cela peut faire, que vous rouliez auparavant dans un modèle différent. C’est vrai, en réfléchissant qu’est-ce qui pouvait attirer l’attention de Muriel sur le fait que nous venions passer le week-end ici. Je me doutais parfaitement que ces deux femmes étaient très complices et devaient s’échanger beaucoup de secrets, mais je ne pensais pas que Geneviève se confesse à ce point avec son chauffeur. — Je vais tout t’expliquer. — En fait avant je roulais dans une Arnage et je me suis acheté un manoir dans ce village ...
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