1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (5)


    Datte: 28/08/2019, Catégories: Lesbienne

    ... éponyme. Je ne voyais toujours pas où elle voulait en venir avec son histoire de village et le fait que Muriel se pose des questions. — En fait aujourd’hui, nous sommes dans le village éponyme de ma voiture d’aujourd’hui. — Quand je me suis acheté la voiture précédente, j’ai poussé le luxe de m’acheter un manoir à Arnage. — Tout comme Mulsanne, Arnage est le nom d’un virage sur le circuit du Mans, et donc d’un petit village aux alentours. — Muriel s’est interrogée, car j’habite à huit kilomètres d’ici. Au fond de moi je ne comprenais pas, car il m’avait semblé comprendre qu’elle habitait La Ferté-Bernard. En fait en y repensant, elle m’avait dit qu’elle habitait entre Le Mans et La Ferté-Bernard mais je n’avais retenu que cette dernière ville, car elle était plus proche de chez moi. Je comprenais donc que Geneviève avait loué une maison à côté de chez elle juste pour me montrer que la marque de sa voiture était aussi le nom d’un village. Voilà pourquoi elle connaissait le coin, voilà pourquoi elle connaissait un traiteur, voilà pourquoi Muriel s’était posé des questions. Donc Muriel savait depuis cette semaine que j’allais avoir des relations homosexuelles avec sa patronne. Ceci expliquait les regards complices et les baisers, tout autant, que nous avons échangés avec Muriel. J’étais un peu sur le cul avec toutes ses confessions. Geneviève s’est tue, pour me donner à nouveau des coups de langue entre les jambes, c’est vrai qu’avec tout ce qu’elle venait de m’apprendre, un ...
    ... petit coup de langue sur mon intimité était le bienvenu. — J’apprécie énormément votre coup de langue à ce moment, j’aime la façon dont vous prenez soin de moi. J’aurais passé toute la nuit à me faire bichonner par Geneviève, tant elle savait donner du plaisir rien qu’avec une caresse ou un coup de langue. — Je vais aussi t’avouer quelque chose, Coralie. — Ce soir je t’ai brouté le minou et je t’ai pénétré mon plus grand plaisir et le tien aussi. — Par contre il faut que tu saches, et j’espère que tu ne m’en voudras pas, que Muriel m’a aidé à te donner du plaisir. Je venais de tomber de haut en apprenant cela, mais en même temps, j’avais pris mon pied comme jamais je ne l’avais fait, ceci pouvait peut-être expliquer cela. Il fallait désormais que je me fasse à l’idée que le chauffeur m’avait donné du plaisir, depuis le temps que j’avais envie d’embrasser Muriel sur la bouche, peut-être en aurais-je l’occasion dans peu de temps. Ceci expliquait les regards et les baisers complices, depuis quand Murielle savait pour Geneviève et moi. Cela expliquait pourquoi Geneviève n’était pas inquiète d’être entendue par son chauffeur, lorsqu’elle criait sous mes coups de langue. — Je ne vous en veux pas Geneviève, maintenant que j’y pense, je préfère que vous m’en ayez informée maintenant et non avant. — Je pense que si je l’avais su avant, cela m’aurait bloquée. — Bon, ma chérie je vais te laisser dormir, car demain tu as une matinée bien chargée. C’est sur un long baiser amoureux et ...
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