1. Bah.. l'auto-stop, quand on est étudiante (5)


    Datte: 28/08/2019, Catégories: Lesbienne

    ... femmes et chacune me tenait avec beaucoup d’affection, j’avais l’impression d’être à elles. Nous avons facilement dû rester trois heures sur le circuit, avant que Muriel ne nous rappelle que nous étions attendues au resto. Quand nous sommes arrivées dans le restaurant, cela donnait l’impression d’une maman qui venait déjeuner avec ses deux filles. Une table nous était réservée, bien en retrait du reste de la salle, en fait nous étions les deux petites coquines de Geneviève. Le repas s’est bien passé et c’était succulent, seul petit souvenir de ce passage au restaurant, Muriel qui m’a littéralement sauté dessus dans les sanitaires. Avec un tel comportement, je me demandais si d’entre nous trois, ce n’était la plus dominatrice. En fait je suis partie au petit coin, en sortant je me suis lavé les mains et c’est à ce moment-là qu’elle est arrivée. Je n’ai pas eu le temps de réagir, elle m’a plaquée contre un lavabo, m’a embrassée et surtout glissé sa main dans mon tanga ; je peux vous garantir que cela m’a fait énormément d’effet et que sa main en est ressortie trempée. Je n’aurai vu aucun inconvénient c’est qu’elle me fasse l’amour ainsi dans les sanitaires, mais je pense qu’elle voulait juste marquer son territoire et me faire savoir que c’est elle qui me dominait. Nous sommes revenues ensemble à table, j’étais un peu ébouriffée, Geneviève nous a regardés avec un sourire complice. Une fois toutes les deux assises, Geneviève nous a pris les mains. — Je suis heureuse que ...
    ... vous vous entendiez bien. — Vous êtes en train de vous découvrir. — Toutes les deux, vous me rendez heureuse et vous m’excitez. Après ce que je venais de vivre dans les toilettes et ensuite les propos de Geneviève j’en avais mon tanga tout mouillé. Il n’y a pas à dire, Geneviève et Muriel aimaient le sexe, mais par-dessus ça, la patronne savait se faire respecter où que cela soit et même sur un circuit, comme j’avais pu le constater tout à l’heure. Après le repas nous sommes rentrées dans la demeure que Geneviève avait louée. Nous sommes restées au calme tout l’après-midi, ceci dans le but que je puisse travailler, chose que je fis. J’avais amené mon ordi pour pouvoir potasser, de temps à autre la patronne venait me voir pour savoir si tout allait bien, j’avais le droit à un baiser gourmand et elle repartait. J’étais super contente car j’ai réussi à travailler presque six heures d’affilée. C’est Muriel qui m’a amené un petit en-cas à l’heure du goûter, bien évidemment, il fut agrémenté d’un baiser coquin. Vers vingt heures trente, les deux femmes venaient me chercher pour dîner, toutes les deux étaient très élégantes et du coup très désirables. Au fond de moi je me disais que c’était vraiment le bonheur d’être amoureuses entre femmes, mais en même temps il me manquait un petit quelque chose, un sexe d’homme qui me pénètre de temps à autre. Le traiteur était passé, il ne fallait pas perdre de temps à rêver, si on voulait manger chaud. kzlkeemt Comme la veille, le repas était ...
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