1. La stagiaire, le technicien et le chariot


    Datte: 04/09/2017, Catégories: fh, hplusag, jeunes, couleurs, Collègues / Travail chaussures, Oral pénétratio, totalsexe,

    ... jamais dire a posteriori qu’elle ne voulait pas. Je me suis avancé entre ses cuisses écartées, et lui ai plaqué ma raideur contre son entrejambe. J’ai remué un peu, et j’ai écouté sa réponse, murmurante. — Je me fais montrer quelque chose par un professionnel, et par le même biais, je m’assure un avenir certain dans l’entreprise, expliqua-t-elle tranquillement. Quelle salope, j’ai pensé ! Et j’ai bandé plus fort. Je ne sais pas trop ce qu’elle voulait, ni ce que je risquais. J’étais à sa merci, entre ses cuisses. Je l’ai embrassée, respirée, regardée, avec ses yeux de salope. Et j’ai commencé à défaire ma braguette : elle souriait comme si elle avait gagné au loto ! J’ai rapidement ouvert mon pantalon, et sorti ma queue de mon boxer, puis je lui ai mise entre ses cuisses, contre son legging, et j’ai passé mes mains sous sa tunique. J’ai remonté un peu le tissu, de façon à sentir ses formes, ses hanches, son ventre, ses seins. Je lui ai léché les lèvres, le nez. Je la sentais frétiller, remontant ses jambes derrière moi, pour m’enserrer, et me coller à elle. Elle remuait son bassin, puis elle m’a regardé. — Tom, je sais que tu adores mes bottes, mes collants, et ma tunique, mais je vais devoir quitter quelque chose ! dit-elle d’un ton coquin. J’ai fait non de la tête, puis je me suis penché pour prendre un cutter sur le chariot. Et je lui ai montré. — J’adore prendre une fille toute habillée, répondis-je.— Ça va pas, non ? lâcha-t-elle, terrifiée.— Ne t’inquiète pas, Sofia. ...
    ... Je le remplacerai.— Tu fais gaffe, hein ? Je l’ai sentie terriblement gênée. Je me suis mis à genoux entre ses jambes, j’ai relevé la tunique et j’ai déchiré le legging, idéalement. Elle était hallucinée ! J’ai adoré sentir son odeur intime, et ses jambes tremblantes, pendant que j’ouvrai le legging. Elle se tenait au rebord du chariot, et on voyait sa gorge serrée, inquiète. J’ai calé ma queue entre ses mollets, et j’ai approché mon visage de sa chatte, recouverte d’une fine culotte noire. Je l’ai prise en bouche, et je l’ai léchée, lentement, humant son parfum. Elle était épilée, mais d’il y a quelques temps. Je me frottais la queue contre ses mollets de façon à ce qu’elle comprenne que je voulais qu’elle me branle avec eux. Et j’ai écarté sa culotte d’un doigt, puis enfourné ma langue. J’ai collé mon nez sur son clitoris tout dur, et, avec ma langue, j’ai fouillé cette petite salope dégoulinante. Je l’ai travaillée, mes mains remontées sous sa tunique, empoignant ses seins dans une sorte de brassière. On sentait bien ses tétons durs. Et j’enfonçai ma langue. Je lui enfonçai d’abord lentement, et en profondeur. Puis j’alternai avec des petits battements latéraux vifs, rapides. Je la sentais comme une dingue ! Puis, je me suis retiré, en la léchant tout le long, et en arrivant la langue sur son clito. Je respirais à plein nez, volontairement, pour que mon souffle la fasse frétiller. Je lui ai resucé un peu le clitoris, en l’aspirant bien comme il faut, en m’amusant à la faire ...
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