1. La stagiaire, le technicien et le chariot


    Datte: 04/09/2017, Catégories: fh, hplusag, jeunes, couleurs, Collègues / Travail chaussures, Oral pénétratio, totalsexe,

    ... d’homme mûr. J’adorais ce qu’il se passait. Je me suis retiré à peine de la bouche de Sofia, et je suis resté juste au-dessus de son visage, la regardant dans les yeux, secouée comme jamais, et effleurant son nez avec le mien. Nos respirations saccadées se mêlaient, pendant que je finissais de la bourriner à fond ! Je me suis amusé à rester comme ça, juste au-dessus de son visage, pendant que j’ai accéléré comme un fou, comme un forcené. Je me suis mis à la limer en profondeur, et bien en amplitude, ressortant presque entièrement… et la refourrant, histoire qu’elle sente bien qu’elle soit prise totalement ! J’ai bien pris soin de me retenir de jouir, en la regardant, et en la fourrant rapidement, comme cela, pendant près de dix ou quinze secondes, en savourant les bruits de muqueuses dégoulinantes se faisant limer. Je pense, d’après son regard brillant, qu’elle aimait ces sons autant que moi ! Puis, je lui ai attrapé les cheveux, et je les lui ai tirés en arrière, plongeant dans son cou, lui suçant sa peau mate, et je lui ai assené quelques puissants derniers coups de queue. Et… j’ai explosé en elle, bien au fond d’elle ! J’ai étouffé un puissant râle dans son cou : elle a dû me sentir vibrer, jouissant en elle. Je me suis déversé, plusieurs fois, l’inondant de mon foutre chaud, lui donnant ce qu’elle méritait d’avoir ! J’ai passé du temps à me vider complètement. J’ai senti ma queue dégorgeant plusieurs fois, et j’ai bien pris la peine d’aller et venir, en ...
    ... lui bouffant littéralement le cou, puis en l’embrassant de nouveau indécemment. Je me vidais complètement ! Je me suis redressé au bout d’un moment, puis je lui ai bien resserré les fesses autour de ma queue, avant que de me retirer, histoire qu’elle garde bien tout en elle, et qu’aucune goutte ne s’échappe. Puis, je lui ai souri : elle était étalée sur le chariot, épuisée de s’être fait prendre comme elle ne l’avait peut-être pas prévu. Nous avons passé un moment dans la salle, à nous en remettre, à reprendre notre souffle, à nous rhabiller. Nous avons fait tout cela, sans parler, sans un regard, du fait d’un peu de gêne, sans doute. Elle ne s’attendait certainement pas à se faire sauter avec cette vigueur, et je ne pensais pas autant montrer mon goût pour les bottes, pour les maghrébines, et pour tout le reste. Le retour à nos postes s’est effectué sans encombre notable. J’ai par contre assez apprécié sa démarche, qui se voulait maîtrisée, et donc un peu lente, faisant toujours claquer ses talons sur le sol, alors que Sofia devait essayer de gérer surtout son plaisir encore à fleur de peau. Je la suivais, avec les mêmes regards dans les reflets des portes vitrés, mais sans ambiguïté, maintenant. Nous sommes repassés devant le poste de garde, et avons essuyé des sourires, des réflexions, des regards accusateurs, mais nous les avons ignorés : il y a tant de ragots dans cette entreprise, sans que personne ne sache si oui, ou non, il se passe quelque chose ! 
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