La stagiaire, le technicien et le chariot
Datte: 04/09/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
couleurs,
Collègues / Travail
chaussures,
Oral
pénétratio,
totalsexe,
... faire une petite salope qui ne demandait que ça. Je me souviens même avoir cherché à croiser son regard, voilé comme toujours, dans le reflet de la porte vitrée de la baie informatique, derrière le chariot, sur lequel j’étais en train de la prendre. Mais la salle était trop sombre. Je me suis donc contenté de continuer à la démonter, cette Sofia, penchée, haletante, et le visage fermé, qui subissait mes assauts de plus en plus virils. Le fait de la sentir vibrante, voire flageolante, ne pouvant plus guère résister au plaisir qui l’envahissait, à mesure que je coulissais comme un forcené en elle, m’excitait encore plus. Mais j’étais sur ma faim de ne pas apercevoir son visage de salope, grimaçant de plaisir. Je la sentais qui cherchait à se tenir au bord du chariot, couinant, et sombrant du plaisir que ma queue lui procurait en lui ravageant les entrailles. Je me suis penché à son oreille, m’immobilisant en elle, et je lui ai murmuré, bien grave : — J’ai envie de voir ta petite gueule de chienne se pincer les lèvres de plaisir. Je me suis retiré. Je l’ai prise dans mes mains, invitée à se retourner, puis allongée sur le chariot. Je la regardais, bouche entrouverte, regard hagard, les yeux mi-gourmands, mi-apeurés, et la poitrine respirant rapidement. Je lui ai repris les cuisses qu’elle a immédiatement, instinctivement, écartées, et j’ai senti ses jambes qui s’enroulaient autour de moi, m’invitant à revenir la prendre. J’ai remonté mes mains le long des leggings, sous la ...
... tunique. Je l’ai prise bien par les hanches, soulevée, et, en la regardant bien, avec un sourire pervers, je lui ai remis ma queue… bien profondément ! Croiser son regard m’a excité encore plus : je la voyais enfin, détectant tous les signes de plaisir qu’elle donnait, se mordillant les lèvres, fermant un peu les yeux, avant de les rouvrir subitement, en grand, au moment où je lui donnais un coup de rein. Elle se cambrait comme une chienne en chaleur sur le chariot ! J’avais mon pantalon baissé, et je sentais les talons de ses bottes calées contre mes fesses nues : j’adorais ! Je pensais encore à ceux de Lilya, et au plaisir que j’aurais en les sentant comme ça, contre moi, en sautant finalement cette lectrice inconnue ! La sensation des talons en bois contre la peau, leur froid contre ma peau chaude et remuante, tout était exquis. J’avais un peu l’impression de baiser Lilya en même temps, d’être dans son ventre à elle, aussi. Mais pour l’instant, j’étais en train de sauter Sofia : je la sentais se tordre de plaisir. Elle se pinçait les lèvres, pour ne pas gémir comme une folle, et son visage en était rouge, bouffi de plaisir. Les cheveux étaient un peu éparpillés au-dessus d’elle. J’ai remonté mes mains sous sa tunique et je suis arrivé à sa brassière noire, que j’ai remontée : j’ai empoigné ses seins, ses tétons tout durs, et je regardais son nombril remuer, au rythme de ma queue en elle. J’allais et venais, bien large en elle, et j’adorais contempler ce corps de jeune salope, ...