Septembre, ses couleurs douces et ses surprises
Datte: 28/08/2019,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
jouet,
init,
... que dans un état sexuellement avancé. Sa cuisse quitta mon entrejambe, plus liquide que jamais, m’arrachant au passage une délicieuse sensation, comme celle de mes masturbations les plus folles. Son bras passa au-dessus de ma tête, et je le sentis récupérer mon amant de silicone. Sa bouche continuait de caresser mes lèvres et je sentais maintenant son bras descendre. J’allais ouvrir les yeux pour assister à sa pénétration. Je m’apprêtais à voir le spectacle du siècle… Et j’ouvris grands les yeux, la respiration coupée, mais pas suffisamment pour qu’un long râle s’échappe de ma bouche encore sous l’emprise de ses baisers torrides. Monsieur Rose n’était pas en elle : il était revenu avec moi… La fidélité, c’est quelque chose ! Isabelle venait de me pénétrer d’un seul coup, sans prévenir. Le gode était en moi, au plus profond. Elle détacha son visage du mien avec un sourire qui allait jusqu’aux oreilles. Elle était fière de sa surprise. Sa main avait commencé à faire aller et venir le jouet en moi. En s’agenouillant, elle me chuchota : — J’avais envie de ça, te voir avec ton jouet, voir ton sexe l’avaler. J’ai envie de voir ton plaisir. Le lent mouvement du gland en moi me faisait toujours autant d’effet, mais il était décuplé par cette jolie brune qui me regardait avec une certaine gourmandise. Elle avait d’ailleurs déjà commencé à me goûter. Son sourire était toujours présent et elle regardait maintenant mon sexe. Monsieur Rose coulissait sans aucune difficulté, il récoltait ...
... à chaque intrusion mon nectar. — Tu es si belle. Ton minou aussi est à croquer. J’aimerais tellement… Elle ne finit pas sa phrase. Elle se pencha délicatement. Un de ses seins vint se presser contre mon ventre. Encore une sensation nouvelle, si douce, si charnelle. Je fermai les yeux et profitai du moment, en essayant de trouver un semblant de respiration. Monsieur Rose était régulier, profond, vif, et soudain une chaleur inconnue, une douceur, une caresse est venue se poser sur mes poils d’abord. Elle embrassait mon sexe. Ses lèvres n’allaient pas tarder à venir au contact des miennes, mais ce n’était plus ma bouche qui répondait. Et mon ventre se contractait. Monsieur Rose m’envahissait, encore et encore. Et puis sa langue s’est posée en haut de ma vulve comme un ange se pose en pleine tempête. Je la sentais remonter le long de monsieur Rose et venir déposer ma liqueur sur mon clitoris. Je crois que je ne respirais plus, je devais gémir ou peut-être crier, je ne sais plus. Elle continuait sa caresse, avec application, douceur et sensualité, sa langue cherchant mon plaisir et abreuvant mon bouton pour décupler mon plaisir. Mes jambes commençaient à trembler, se raidir, je ne savais plus quand il fallait inspirer ou respirer, je crois que je n’étais plus qu’un râle continu. Elle enfonça monsieur Rose définitivement en moi et embrassa mon clitoris à pleines lèvres. Ce fut l’apocalypse, la fin du monde ! Mon corps était incontrôlable ; j’ai attrapé ses cheveux et plaqué sa tête ...