Septembre, ses couleurs douces et ses surprises
Datte: 28/08/2019,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
jouet,
init,
... sur mon sexe, mais l’orgasme n’a fait que monter. Elle retira monsieur Rose d’un geste vif et sa langue se planta en moi, curieuse, gourmande. Son nez sur mon bouton m’électrisait. Je me serais arrêtée s’il s’était agi d’une simple masturbation, mais elle me dirigeait, elle goûtait ma mouille, mon nectar, et ses gestes étaient tellement doux, tellement délicats, tellement ceux d’une femme qui sait où et comment faire. De l’entrée de mon vagin, sa langue remonta jusqu’à mon clitoris, puis redescendit le long de mes lèvres, et les caressant doucement, avec amour, massant chaque espace de peau, mettant en feu chaque terminaison nerveuse, faisant remonter le plaisir une nouvelle fois. Puis revenant au centre et lissant mes petites lèvres, les faisant aller et venir le long de sa langue. Je n’avais pas fini d’apprécier la première fois qu’une seconde vague arrivait, plus forte encore. Et mon bouton devenait le centre du monde. Sa langue recueillait ma liqueur et remontait toujours plus intensément chercher sous le petit capuchon la source de ma jouissance. Elle venait, et je mouillais, et elle me léchait, encore. — Tu es si agréable, j’aime ton goût, j’aime ta mouille, dit-elle dans un souffle, la tête entre mes cuisses. Et mon ventre se contracta, et mes jambes partirent à nouveau en transes incontrôlables, et elle reprit mon clitoris dans une succion divine, érotique, tellement intense… Je venais de jouir une deuxième fois de la bouche de cette jeune brune. Elle parsemait ...
... maintenant de petits baisers l’intérieur de mes cuisses, puis ma vulve, puis ma toison. Mes mains étaient dans ses cheveux, et sa langue faisait le tour de mes grandes lèvres, toujours avec cette sensualité. Ma respiration commençait à redevenir normale, pour quelqu’un qui venait de faire deux marathons. J’étais épuisée, heureuse de ce bonheur charnel, heureuse de ces jouissances intenses, heureuse de ces lèvres qui parcouraient encore mon sexe pendant que le plaisir redescendait, heureuse de cette langue récoltant ma jouissance, de ces yeux gourmands qui semblaient me dire « Merci, tu es délicieuse… » Elle plaqua ses lèvres sur ma fleur grande ouverte et leva la tête. Son visage était humide, sa bouche et son nez luisaient d’un liquide qui n’était certainement pas de la sueur. Elle se lécha les lèvres. — Je crois que ça t’as plu ? Je jetai ma tête en arrière en essayant de retrouver mes esprits. Moi qui rêvais du prince charmant, je venais de jouir avec une fille ! Et quelles jouissances, quels orgasmes ! — Je crois que… oui, j’ai peut-être un peu aimé… Elle éclata de rire, et je fis de même. Elle se mit à quatre pattes, passa au-dessus de mon corps et s’allongea sur moi. Les vagues de délices n’étaient pas encore parties et ses seins sur les miens ravivèrent une nouvelle fois le désir. Mais je faisais maintenant connaissance avec tout son corps, son ventre chaud et doux, ses jambes entre les miennes. Je sentais son sexe contre le mien. C’était agréable, torride même. Un mec ne me ...