1. Septembre, ses couleurs douces et ses surprises


    Datte: 28/08/2019, Catégories: f, ff, fépilée, jouet, init,

    ... ferait pas cet effet. Je revoyais dans ma tête ce sexe lisse, charnel, tentant. Au-dessus de moi, elle pencha légèrement la tête et ses lèvres vinrent se poser sur les miennes pour une nouvelle série de baisers. Elles n’avaient plus le même goût. C’était… particulier. Elle recula son visage, comme si elle devinait mes pensées et chuchota : — Tu aimes ton goût ? Je crois qu’à force de presser les fruits de ton plaisir, j’en ai extrait le meilleur jus qui soit. Je me suis régalée… Qu’en dis-tu ?— C’est… inattendu. Pas désagréable, mais je n’ai jamais goûté mon… jus, comme tu dis. Son sourire me rassura. Elle posa ses mains contre mon visage et se remit à me bécoter doucement, puis nous nous embrassâmes avec délice. Je promenai mes lèvres sur son nez, puis la langue, pour essayer de conforter ce goût. — Tu veux goûter le mien ? Sa voix était elle-même une caresse, une invitation à la sensualité. Mais je n’avais pas spécialement le courage d’aller boire son désir, de poser mes lèvres sur ses chairs intimes. J’en avais peut-être eu envie, avant d’être terrassée par les orgasmes. Et maintenant que j’étais dans ses bras, je sentais mon propre plaisir sur son visage… je ne savais pas. — Ça te fait peur ? On va y aller doucement. Ce sera aussi bon pour toi que pour moi. Ne t’inquiète pas. Et elle enveloppa mes lèvres d’un nouveau baiser délicat. Elle s’allongea ensuite sur mon côté et m’invita à m’agenouiller. J’étais à côté d’elle. Elle était si belle, si naturelle ; je revois ...
    ... son visage à peine éclairé par les lumières sur le côté du lit. Je me penchai pour aller l’embrasser. Ce sont mes lèvres qui allaient maintenant à sa rencontre. Elle ne bougeait presque pas, respirait lentement. Elle a juste levé une de ses mains pour venir la placer entre mes cuisses. C’était doux, et me donnait du courage. Mes baisers commençaient à descendre. Son menton tout d’abord. Sa peau contre mes lèvres était douce, et il y avait ce petit parfum épicé, ce petit goût particulier… Son menton avait lui aussi recueilli ma liqueur. Sa main avait fait un petit mouvement pour m’indiquer que je pouvais écarter un peu mes jambes, ce que je fis sans l’ombre d’une hésitation. Je pris appui sur mon bras pour continuer ma progression. J’arrivai sur le haut de sa poitrine. Elle était parfumée ; une peau satinée, lisse, sensuelle. L’embrasser était un plaisir en soi. La main d’Isabelle tourna et vint se positionner sur mon intimité, le majeur le long de ma fente. Elle n’appuyait pas sur mon sexe, mais elle ne laissait pas d’espace entre sa paume et mes chairs. Mon plaisir était bien là, et je pense que je n’allais pas tarder à inonder sa main si elle continuait comme ça. Ma quête de la découverte de son corps se poursuivait. J’arrivais aux deux montagnes. Leurs dômes étaient magnifiques, des aréoles pâles, et des tétons qui ne demandaient qu’à être aimés. J’approchai ma langue de l’un d’eux. Isabelle retint sa respiration, sa main se colla un peu plus à ma vulve. Le contact était ...
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